7605. AN DEN ETATSMINISTER GRAF FINCKENSTEIN IN BERLIN.

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Finckenstein berichtet, Berlin 22. Juni, dass er dem Grafen Puebla auf dessen Requisition bezüglich Weingarten's die Antwort des Königs vom ai. übermittelt habe:458-4 „Mais je ne dois pas cacher à Votre Majesté que ce ministre ne témoigne nullement être satisfait de cette réponse, et que je soupçonne de plus en plus par ses discours que la cour de Vienne fera beaucoup de bruit de cette affaire, en faisant valoir en sa faveur le droit des gens, aussi bien que la règle générale, que la femme doit suivre la Jurisdiction du mari. Après que j'eus parlé, il me dit qu'il savait que la femme et les enfants étaient partis d'ici en voiture la nuit du vendredi458-5 au samedi et qu'ils avaient trouvé des relais à Spandau, circonstance que je lui ai protesté ignorer absolument. Il ajouta que cela ne l'empêchait pas d'insister toujours sur sa demande, et il me dit en finissant qu'il était fâché de m'importuner, si souvent pour cette affaire, mais qu'il était obligé d'exécuter ses ordres, et que du reste il

Potsdam, 23. Juni 1756.

Ich verstehe nicht, was er, der Graf Puebla, in dieser Sache eigentlich haben will; er hat angezeiget, dass sein Secretär ausgetreten und nach Stendal gegangen sei. Ich habe darauf an den Magistrat zu Stendal. weil wegen der Revue keine Garnison da gewesen, die Ordre ergehen lassen, wenn jener da wäre, ihn sogleich zu arretiren,458-6 und sobald Ich die Antwort erhalten haben werde, werde Ich ihm solche communiciren lassen. Er, der Graf Puebla, hat verlanget, dass die Schwiegermutter sollte abgehöret werden, die Ordre dazu ist ergangen. Ich habe ihm darunter noch nichts refusiret; er kann nur anzeigen, wo man sie entdecken

en serait ce que Dieu voudrait; expression dont j'ai fait semblant de ne pas sentir la force, mais qu'il n'a sûrement pas lâchée au hasard. Le sieur Mitchell qui survint, me demanda ensuite s'il n'avait pas été question de son secrétaire, puisqu'il en avait ouï parler en ville. Je ne crus pas devoir lui en faire un mystère, et je lui fis valoir à cette occasion de mon mieux la réponse que Votre Majesté y avait faite. Ce ministre me dit, sur cela, en branlant la tête : « Comptez que ces gens vous cherchent noise; ceci n'est qu'une bagatelle dans le fond, mais puisqu'on y insiste avec tant de formalités, cela marque un dessein caché. » J'ai cru devoir rapporter ce discours, puisqu'il confirme le soupçon que j'ai que la cour de Vienne, dans le dessein où je la suppose d'attaquer Votre Majesté, se servira de ce prétexte pour rappeler son ministre et pour acheminer la rupture.“

kann, so werde Ich sie suchen und arretiren lassen, mehr kann Ich nicht thun. Welches er dem Grafen von Puebla in poüen Terminis sagen und bedeuten soll.

Im übrigen glaube Ich, dass M. Mitchell recht geurtheilet hat, und man nur den Geheimen Rath von Klinggräffen von dem ganzen Detail der Sache informiren und ihm dabei, jedoch nur zu seiner alleinigen Direction und dass er es selbst dechiffrirt, schreiben [muss]459-1 wie man wohl sehe, wie darunter Noise gesuchet werde, um vielleicht den Prätext daher zu nehmen, den Minister zu rappelliren, und er also nur einen Fuss im Steigbügel halten, und wenn der Cas arrivirte, sodann das Archiv dem englischen Minister übergeben solle.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.



458-4 Vergl. S. 437.

458-5 18. Juni.

458-6 Vergl. S. 437.

459-1 Demgemäss Ministerialerlass an Klinggräffen, d. d. Berlin 26. Juni. Vergl. auch Nr. 7611.