<218> toutes les facilités à cette négociation; car, par une conduite contraire, elle poussera la République à bout et la forcera de se jeter tout-à-fait entre les bras de la France.“

Hellen unterbreitet dem Könige den Vorschlag, ihn zu der Erklärung zu ermächtigen, dass der König allen preussischen Unterthanen den Handel mit zur Schiffsausrüstung gehörigen Gegenständen nach Frankreich hin untersagen werde, „car je suis sûr que cela contribuerait beaucoup à engager les Hollandais à se relâcher aussi là-dessus.“

Potsdam, 14 août 1756.

J'ai bien reçu vos dépêches du 6 et du 7 de ce mois, et j'ai été charmé d'apprendre que les insinuations que vous avez faites jusqu'ici là où vous êtes, y aient fait impression, de sorte qu'il y a lieu à espérer d'atteindre le but que nous nous sommes proposé. Aussi suis-je très satisfait des insinuations que vous marquez qu'il conviendrait de faire là-bas; vous n'aurez donc qu'à les mettre en usage, et j'interdirai à mes sujets le trafic que vous alléguez, avec la France. Au reste, je ferai parler en Angleterre sur ces matières et y passerai mes bons offices auprès du ministère,1 afin qu'il lève les obstacles propres à empêcher l'union et l'alliance à conclure avec la République, ou qui au moins en pourraient faire traîner la conclusion, et ne manquerai pas de vous avertir en temps du succès qu'y auront opéré mes remontrances.

Federic.

Nach dem Concept.


7852. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION COMTE DE SOLMS A STOCKHOLM.

Potsdam, 14 août 1756.

Votre dépêche du 3 de ce mois m'est bien entrée, et je ne saurais vous donner d'autres ordres à l'égard des circonstances qu'elle renferme, et de l'instruction que vous demandez en conséquence, que ceux que je vous ai déjà fait parvenir,2 savoir d'avertir, sans discontinuer, la Reine ma sœur de la façon que je vous l'ai prescrit, en lui recommandant en même temps la plus grande modération.

Vous ne laisserez pas, avec cela, d'inspirer des sentiments de douceur aux autres, où vous pourrez le faire convenablement.

Federic.

Nach dem Concept.


7853. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

Podewils und Finckenstein überreichen, Berlin 13. August, ein Schreiben des hannoverschen Geheimrathspräsidenten von Münchhausen, d. d. Hannover 8. August: „Votre Majesté voudra bien voir … [qu'il a écrit cette lettre] pour savoir,

Potsdam, 14. August 1756.

Sie können ihm ganz obligeant antworten, dass jetzo der Prinz Ferdinand hier noch ohnumgänglich nöthig sei, und dass,



1 Vergl. S. 190. 193. 216. 228.

2 Vergl. S. 119.