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Podewils und Finckenstein berichten, Berlin n. September, über das Gerücht, dass die Kaiserin 20,000 Mann zum Angriff gegen Cleve bei Rœrmond versammele.1 „Cette nouvelle nous a fait naître l'idée s'il ne Lui plairait pas de faire par Son chargé d'affaires de Hellen dire à la république de Hollande : que Votre Majesté Se flattait que, par amitié pour Elle et ses propres intérêts, e lie prendrait extrêmement à cœur que les États de Clèves ne tombassent jamais en d'autres mains, et principalement dans les conjonctures présentes, que la République voudrait bien les protéger, pendant que Votre Majesté allait empêcher que la cour de Vienne n'introduise un despotisme dans l'Empire et qu' elle n'opprime la religion protestante;2 que Votre Majesté espérait qu'au cas qu'on voudrait faire envahir hostilement Ses Etats de Clèves, la République ferait dès aussitôt déclarer qu'elle regardait ce pays comme une barrière pour la sûreté de ses propres Etats et qu'elle se trouvait, par conséquent, dans la nécessité de les défendre de tout son pouvoir, ainsi qu'elle l'avait déjà fait ci-devant dans de pareilles conjonctures relativement aux susdits pays de Clèves, lesquels dans toutes les guerres précédentes ont toujours été compris dans la neutralité de la République.“

Recht sehr gut, und sollen sie es nur sonder einigen Anstand besorgen.5

Podewils und Finckenstein überreichen, Berlin 11. September, ein Schreiben des hannoverschen Geheimrathspräsidenten von Münchhausen an den Grafen Podewils.3 Münchhausen spricht die hohe Befriedigung König Georg's über den Entschluss des Königs von Preussen aus, von den an England verpfändeten sächsischen Aemtern bei dem Durchmarsch durch Sachsen keinerlei Leistungen zu fordern4 … „Ce ministre a, cependant, observé qu'on avait eu à Hanovre la nouvelle que les gens du bailliage de Sangerhausen avec son district avaient été cités par Son Altesse Monseigneur le prince Ferdinand de Brunswick de comparaître à Leipzig, pour y convenir de la livraison des contributions et des fourrages nécessaires, quoique cette terre avec

Wenn es geschehen, so ist es ein pures Versehen aus Mangel gnugsam gehabter Information, und habe Ich sogleich befohlen,6 dass es redressiret und, was etwa zur Ungebühr gehoben worden, wiedergegeben werden soll.



1 Vergl. Nr. S026.

2 Vergl. S. 383. 389.

3 D. d. Hannover 5. September.

4 Vergl. S. 298.

5 Demgemäss Ministerialerlass an Hellen, d. d. Berlin 18. September.

6 Vergl. Nr. 8031.