7713. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

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Podewils und Finckenstein berichten, Berlin )6. Juli, über ein Schreiben des hannoverschen Ministeriums,83-1 in welchem der König zu gemeinsamen Schritten mit der hannoverschen Regierung aufgefordert wird, um die deutschen Höfe, zumal die von Mannheim und Bonn, vor den Intriguen des aus Wien abgesandten Domherrn Freiherrn von Fechenbach83-2 zu warnen.

Potsdam, 17. Juli 1756.

Bei Köln ginge es in gewisser Maasse noch an und wäre was zu thun, aber zu Mannheim ist es vorbei.

Podewils und Finckenstein überreichen, Berlin 16. Juli, ein Schreiben des hannoverschen Ministeriums,83-3 enthaltend die Mittheilung, dass der hannoversche Geheimrath von Albedyll nach Schwerin gesandt sei: „pour conseiller au Duc de ne pas tarder un moment de s'accommoder avec Votre Majesté et de détourner par là le préjudice qui en pourrait résulter autrement pour lui et pour la cause protestante.“ 83-4 Die Minister unterbreiten dem Könige den Vorschlag, das hannoversche Ministerium von den jüngsthin gemachten Propositionen des Baron Forstner und der auf dieselben erfolgten Antwort in Kenntniss zu setzen.83-5

Recht gut.

Podewils und Finckenstein berichten, Berlin 16. Juli: „Le baron de Forstner nous ayant fait connaître à différentes reprises que le poste qu'il occupait à sa cour,83-6 ne lui permettant pas d'en être plus longtemps absent, il souhaiterait fort que Votre Majesté lui accordât ses lettres de récréance, nous les avons fait expédier et nous avons l'honneur de les présenter ci-jointes à Sa signature … Il nous a, au reste, assuré que l'intention du Duc son maître, en le rappelant, n'avait été nullement de rompre par là la négociation entamée pour un accommodement, et qu'elle pourrait toujours être poursuivie à Ratisbonne ou ailleurs. Il nous est venu à cet égard une idée, que nous soumettons cependant aux lumières supérieures de Votre Majesté, que, pour faciliter d'autant mieux cette négociation et pour l'acheminer à une heureuse fin, il Lui plairait peut-être de faire réciproquer la mission du baron de Forstner par l'en-

Ich werde so einfältig nicht sein und ihm jemanden Meiner Bedienten hinschicken. Ich habe anfänglich nach des Herzogs Tode gesaget, dass ein mecklenburgischer Edelmann, der nicht in Meinen Diensten stände, hingehen und vor Sich ein Compliment machen und Insinuations zugleich thun sollte; dass Ich jetzo aber sollte einen Meiner Bedienten hinschicken, das wäre zu viel, würde zu weit gehen und den Ditmar sehr aufblasen.83-7 Ich will wohl Avances thun, aber sie müssen nicht zu stark sein, noch zu weit gehen.

voi d'un de Ses sujets, pour féliciter le Duc sur son avènement à la régence, muni d'instructions en même temps de faire de vive voix des représentations à ce Prince et de lui faire sentir la nécessité d'un prompt accommodement.“

 

Mündliche Resolutionen. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.



83-1 D. d. Hannover 10. Juli.

83-2 Vergl. Bd. XII, 490.

83-3 D. d. Hannover 11. Juli.

83-4 Vergl. S. 37.

83-5 Vergl. Nr. 7672.

83-6 Vergl. Bd. XII, 491.

83-7 Vergl. S. 2. 44. 72.