8001. AN DEN ETATSMINISTER GRAF FINCKENSTEIN IN BERLIN.

Finckenstein berichtet, Berlin 7. September: „Je suis fâché que le comte i de Brühl porte son maître à des partis désespérés, qui ne peuvent avoir d'autre but que de crier ensuite d'autant plus fortement à la violence, et je fais des vœux aussi sincères qu'ardents pour que tout tourne à la satisfaction de Votre Majesté et à la confusion de Ses ennemis.“

Vorstadt Dresden, 9. September 1756.

Die Herren Sachsen werden nicht so gefährlich sein; erstlich werden sie viel schreien, es wird sich aber alles geben.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.