8328. AU GÉNÉRAL MAJOR PRINCE FRÉDÉRIC EUGÈNE DE WÜRTEMBERG A LANDSHUT.

Sedlitz, 13 novembre 1756.

Monsieur mon Cousin. Dès que je vous eus fait ma dernière lettre,40-3 je ne doutai pas un moment que vous ne vous acquittiez de ce que je vous avais demandé, avec ce zèle que je vous connais toujours pour tout ce qui regarde mes intérêts et ceux de votre maison.<41> Je vous remercie néanmoins de bien bon cœur de l'avoir fait d'une manière qui ne saura que faire impression sur Monsieur votre frère, et de m'avoir donné par là un nouveau témoignage de votre amitié. En attendant, je ne veux point vous laisser ignorer que, pourvu que mes nouvelles de Regensburg accusent juste, les États du cercle de la Franconie, tout comme ceux de la Souabe, commencent de penser plus modérément sur mes différends avec la cour de Vienne, et que leur prévention pour la dernière se diminuait; reste à voir si ces nouvelles se vérifieront. Vous connaissez les sentiments d'estime et d'amitié avec lesquels je suis, Monsieur mon Cousin, votre bon cousin

Federic.

Nach dem Concept.



40-3 Vergl. Nr. 8286.