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Feinds Attention attiriren; mit dem übrigen Corps müssen Sie zwischen Leipzig und Torgau alles reine halten.

Adieu. Ich werde noch hier stehen bleiben.

Friderich.

Nach der Ausfertigung im Herzogl. Haus- und Staatsarchiv zu Zerbst. Eigenhändig.


9401. AU FELD-MARÉCHAL DE REITH A BUTTSTÆDT.

Buttstädt, 8 octobre 1757.

Mon cher Maréchal. J'ai mes raisons pourquoi je désire que vous fassiez incessamment une lettre en termes bien polis de votre part au maréchal duc de Richelieu, pour lui marquer qu'ayant appris moi avec chagrin que, contre mon intention, les prisonniers de guerre français à Magdebourg avaient cru devoir se plaindre sur le traitement qui leur y avait été fait, qui n'avait pas été de façon que je le souhaitais, j'avais cru convenable, pour couper court à ces plaintes et prévenir tout mésentendu à ce sujet, qu'il plairait au maréchal Duc de nommer quelque commissaire des troupes françaises à Halberstadt et de l'autoriser de passer à Magdebourg, pour régler là avec le gouverneur, le prince Ferdinand de Brunswick, tout ce qui convenait pour le bon entretien des susdits prisonniers, et pour faire cesser toutes plaintes et griefs.

J'attends que vous fassiez cette lettre d'abord, et que vous me l'envoyiez incessamment signée et cachetée, par le même exprès qui vous apportera celle-ci. Et, sur ce, je prie Dieu etc.

Je vous prie de faire bientôt la lettre, pour qu'elle puisse partir avec le courrier.

Federic.

Nach der Ausfertigung. Der Zusatz eigenhändig.


9402. AN DEN GENERALLIEUTENANT PRINZ FERDINAND VON BRAUNSCHWEIG.

Prinz Ferdinand meldet, Wanzleben 6. October, nach Empfang des königlichen Cabinetserlasses vom 2. October1 habe er „vor nöthig gefunden, dem Maréchal [Richelieu] mit einem Schritt entgegen zu gehen. Ich habe dahero dem Kriegesrath Horst in seine Schreibtafel dictiret und ihm committiret, directe dem Herrn Maréchal zu eröffnen, dass, da der Commissarius de La Salle einen Antrag zu einem Waffenstillstand bis auf den

Buttstädt, 8. October 1757.

Durchlauchtiger Fürst, freundlich geliebter Vetter. Ew. Liebden per Estafette an Mich erlassenes Schreiben vom 6. dieses habe Ich sogleich heute Abend allhier erhalten, und gebe Ich Deroselben darauf in Antwort, wie Ich die von Ew. Liebden nach solchem ge-



1 Vergl. Nr. 9385.