<175>in solche Umstände käme, dass man mit allem guten Willen das österreichische Haus von seinem Verderben nicht retten könnte .... Uebrigens hätte Mylord Hyndford sehr wohl geurtheilet, wenn er gesaget: Il est temps plus que jamais que ces....... de Vienne deviennent sages.“

... „Der Königs Vorsorge vor die Blessirten gehet so weit, dass Sie selbige zuweilen von Haus zu Haus Selber besuchen und alles, was zu dero Soulagement möglich ist, beitragen“ ...

Auszug aus der Ausfertigung.


857. AU MARÉCHAL DE FRANCE DUC DE BELLE-ISLE A PRAGUE.

Camp de Brzezy, 22 mai 1742.

Monsieur. J'ai été charmé de voir par votre lettre du 19 de ce mois que vous ayez pris la résolution d'aller vous-même prendre le commandement des troupes françaises en Bohême. Vous sachant à présent dans un poste où je vous aurais souhaité depuis longtemps, je suis assuré que je n'en entendrai que des expéditions belles et glorieuses.

L'armée ennemie sous les ordres du prince Charles de Lorraine, qui a campé à Haber, en est partie la nuit passée une demi-lieue en arrière, sur le chemin de Teutschbrod, où elle a pris un poste entre un chemin creux, un ruisseau et entre des montagnes. Je ne manquerai pas de la faire observer de plus près et de vous donner des nouvelles de tous les mouvements qu'elle pourra faire. Le porteur de celle-ci, le lieutenant-colonel de Wylich, vous expliquera la position dans laquelle nous sommes présentement, et mes souhaits ne sont que pour avoir bientôt de bonnes nouvelles de votre part. Je suis avec toute l'estime imaginable, Monsieur, votre très affectionné et fidèle ami

Federic.

Nach dem Concept.


858. AU MARÉCHAL DE FRANCE COMTE DE BROGLIEA PISEK.

Camp de Brzezy, 22 mai 1742.

Monsieur. C'est avec une satisfaction extrême que j'ai reçu votre lettre, qui m'a appris la résolution que vous avez prise d'aller faire une diversion au prince de Lobkowitz et de secourir le château de Frauenberg que ledit prince vient d'assiéger. Je suis tout-à-fait persuadé, Monsieur, que vous n'oublierez rien de ce qui peut contribuer au bien de la cause commune, et vous me ferez justice si vous êtes persuadé que personne ne s'intéressera jamais plus que moi pour vous, et pour tout ce que j'espère d'entendre bientôt des succès de vos expéditions.