<178>Autrichiens seront maîtres de ce château, avant que M. de Belle-Isle soit en état de les approcher.

Je prie Votre Majesté d'être persuadée de tous les sentiments d'estime, de considération et d'amitié avec lesquels je suis à jamais, Monsieur mon Frère, de Votre Majesté le très bon frère et fidèle allié

Frederic.

Nach Abschrift der Cabinetskanzlei.


862. AU DUC RÉGNANT DE BRUNSWICK A BRUNSWICK.

Camp de Czaslau, 24 mai 1742.

Monsieur mon Frère. Je suis bien aise de voir par votre agréable lettre du 11 de ce mois que la situation des affaires en Courlande vous laisse toujours la bonne espérance d'y pouvoir faire quelque chose en faveur de votre frère, le prince Louis. J'y contribuerai volontiers tout ce qui dépend de moi, et bien que les présentes circonstances soient si ambiguës que je ne croie pas encore que je puisse faire jouer mes ressorts avec effet, j'espère pourtant que dans l'espace de trois ou quatre semaines les affaires changeront un peu de face et prendront un pli qui me fournira l'occasion de vous pouvoir montrer que les sentiments d'amitié que j'ai pour vous et tout ce qui vous est chef, emportent auprès de moi sur toute autre considération. J'employerai alors tous les efforts imaginables pour donner à cette affaire une tournure qui soit convenable à vos souhaits, et à mes désirs de vous pouvoir convaincre de la parfaite amitié avec laquelle je suis et serai constamment etc.

Frederic.

Nach Abschrift der Cabinetskanzlei.


863. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BRESLAU.

Ammon berichtet, Dresden 25. Mai : Die Befehle des Königs in Betreff des Grafen Brühl sind ausgerichtet worden : „Il a répété plusieurs fois qu'il me priait d'être son avocat auprès de Votre Majesté .... Dans ces circonstances, où les deux partis balancent encore, il me paraît qu'une lettre que Votre Majesté écrirait au roi de Pologne, et dans laquelle Elle lui témoignerait indirectement Sa satisfaction de la conduite du comte de Brühl, serait très avantageuse à ce ministre.“

Lager bei Brzezy, 26. Mai 1742.

Gehet nicht wohl an, sonder dass es schiene, als ob Mich in fremde domestique Sachen meliren wollte. Was er thun kann, muss er durch adroite Insinuationes bei Guarini, bei den Pfaffen und bei den Frauens thun.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.