<22>de la tendre amitié que j'ai pour Elle, et de Lui être utile dans un moment où je le puis, m'a fait vaincre mille difficultés pour voler à Son secours. Je Lui abrége le détail de l'opération, mais je me flatte que dans peu Elle aura raison d'être satisfaite. Je La prie de me conserver Son amitié et d'être persuadée que je suis avec l'amitié la plus inviolable, Monsieur mon Frère et Cousin, de Votre Majesté Impériale le très fidèle f rère et allié

Federic.

Nach der Ausfertigung im Königl. Hausarchiv zu Berlin. Eigenhändig.


674. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

Podewils berichtet, Berlin 22. Januar : Der Marquis d'Argens ist am 20. in Berlin eingetroffen, um dem Könige einen Brief der Herzogin - Regentin von Württemberg zu überreichen. Ueber seine Aufträge hat er nichts durchblicken lassen, als dass seine Fürstin den König persönlich zu sprechen wünscht. Podewils hat ihm erwidert, dass die Herzogin wohl thun werde, eine Reise nach Berlin bis zum Herbst aufzuschieben, um den König sicher zu treffen.

Olmütz, 28. Januar 1742.

Man muss ihn mit Politesse so lange als es moglich ist hinhalten und ihm Meine jetzige Abwesenheit bestens gelten machen, auch dass man noch zur Zeit ohnmöglich urtheilen könnte, wann ehe die Conjuncturen Meine Retour nach Berlin zulassen würden. Vielleicht dass er dann von selbst mit seinem Secret herausgehet und sich de couvriret. Ich soupçonnire, dass es Propositiones seind, die Ich nicht allerdings goutiren dörfte.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.


675. AU CARDINAL DE FLEURY A ISSY.

Olmütz, 29 janvier 1742.

Monsieur mon Cousin. Je passe légèrement sur les petites misères de l'ambassadeur1 d'Espagne et de Portugal à Paris2 pour vous parler d'objets bien plus grands et d'une autre importance.

L'invasion des Autrichiens en Bavière m'a engagé à venir moimême ici, après avoir fait consentir le roi de Pologne de me donner le commandement de ses troupes, pour les joindre avec les miennes et



1 Sic.

2 Fleury's Antwort vom 13. Jan. auf das Schreiben des Königs vom 1. Jan. ersucht in Betreff des Aufenthaltes von Poniatowski in Paris keinen Zwischenträgern Glauben zu schenken. „M. d'Acunha, ambassadeur de Portugal, tient deux fois parsemaine un bureau de nouvelles où chacun porte ses réflexions et raisonne à peu près comme on fait dans les cafés. Il est Autrichien déclaré, aussi bien que les deux tiers des ministres étrangers qui se trouvent à ces assemblées.“