<229>nicht nehmen können, und dass Ich besorgen muss, man werde, wenn man so fort fahret, endlich auch Neisse und Glatz zu den hautes montagnes rechnen. Ihr habt also dieses in geziemenden Terminis gelten zumachcn und vor Mein Interesse dahin zu sorgen, dass man dergleichen anbillige Zumuthen schwinden lasse und Reichenstein nicht dahin rechne, wohin es ohnmöglich gerechnet noch überlassen werden kann. Ich bin etc.

Friderich.

Nach der Ausfertigung.


925. A L'EMPEREUR DES ROMAINS A FRANCFORT SUR-LE-MAIN.

Charlottembourg, 15 juillet 1742.

Monsieur mon Frère et Cousin. Le maréchal de Seckendorff m'a Tendu la lettre de Votre Majesté Impériale et m'a dit verbalement Ses intentions.1 Elle peut compter que je n'abuserai jamais de la confiance qu'Elle daigne mettre en moi, et que je contribuerai, autant qu'il est en moi, de faire avoir toute la satisfaction à Votre Majesté Impériale. J'ai mis pour cet effet, conjointement avec le maréchal de Seckendorff, les fers au feu, et je me promets que ce Maréchal pourra rapporter de bouche un jour à Votre Majesté Impériale les soins que je me donne pour Son service, et les raisons qui m'ont empêché de continuer de La seconder par la voie de la force. Je prie Votre Majesté Impériale d'être persuadée que cette tendresse et cet attachement que je Lui ai voués subsistent toujours, et que je n'aurai aucun repos, si je ne suis assez heureux pour Lui en donner des marques. Je suis avec ces sentiments jusqu'au dernier soupir de ma vie, Monsieur mon Frère et Cousin, de Votre Majesté Impériale le très bon frère et fidèle allié

Federic.

Nach der Ausfertigung im Königl. Hausarchiv zu Berlin. Eigenhändig.


926. AU ROI DE LA GRANDE-BRETAGNE A LONDRES.

[16 juillet 1742.]

Monsieur mon Frère. Je ne puis m'empêcher de remercier Votre Majesté de la façon obligeante dont il Lui a plu de S'employer, par Sa médiation, pour moyenner ma paix avec la reine de Hongrie. Cette marque d'amitié de Votre Majesté m'est d'autant plus sensible que je m'y étais toujours attendu de Sa part. Je souhaite de tout mon cœur d'avoir une occasion assez favorable pour Lui en témoigner ma reconnaissance et pour Lui donner des marques de l'estime infime et de tous les sentiments avec lesquels je suis, Monsieur mon Frère, de Votre Majesté le très bon et fidèle frère

Federic.

Nach Abschrift der Cabinetskanzlei. Das in derselben fehlende Datum ergiebt die Antwort.



1 Vergl. Nr. 928 S. 231.