<302>

m'assurer encore si la cour de Vienne prendra la résolution de faire passer cette armée en Allemagne cet hiver ou non“ .... Der französische Gesandte hat Carteret gefragt : „Vous voudriez donc, Milord, nous obliger à une paix honteuse? — Sans doute, répondit milord Carteret, et c'est mon unique occupation depuis que je suis dans les affaires — en ajoutant: Je me flatte même d'y réussir.“

wollte, solches kein Fürst des Reiches, am allerwenigsten aber Ich, mit indifferenten Augen ansehen könnte. Das Reich müsste dadurch ruiniret und die Freiheit dessen ganz infringiret werden, welche zu souteniren und zu conserviren Mir und allen Reichsständen obliege.1

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.


1025. AU MINISTRE D'ÉTAT COMTE DE PODEWILS A BERLIN.

Podewils und Borcke berichten, Berlin, 15. December : „Da nunmehro die Materie wegen Wiederherstellung des Ruhestandes im Reich oder des Friedens zwischen dem Kaiser und der Königin von Ungarn mit nächstem bei dem Reichstage in Proposition gestellet werden, dürfte, so ist beiliegendes Votum entworfen worden, wie Ew. Königl. Majestät Comitialgesandter, der von Pollroann, sich darüber vernehmen lassen könnte, welches auf den Antrag der Mediation des Reichs, sammt der beiden Seepotenzien gehet.“

Podewils,

réglez mon votum sur le discours que je vous ai tenu hier:

1° Que l'Empire doit conserver sa neutralité et assembler une armée pour cet effet.

2° Que l'on doit interposer sa médiation avec les Puissances maritimes.

3° Que l'on doit soutenir, à quel prix que ce soit, les libertés et constitutions de l'Empire contre quoscunque qui les veulent opprimer ou les enfreindre, ce qui veut facilement dire, que l'on barre par là le chemin aux Anglais de désoler l'Allemagne.

Fr.

Nach der eigenhändigen Aufzeichnung (praes. 18. Dec.) am Rande des Berichts.


1026. AU DEPARTEMENT DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES.

Podewils und Borcke legen das den königlichen Weisungen gemäss umgearbeitete Votum vor, das der Comitialgesandte in puncto securitatis publicae abgeben soll. (Berlin, 19. December.) „On instruira, en attendant, Ses ministres à Francfort pour faire en secret et

On peut encore a jouter qu'en vrai patriote je suis prêt de contribuer de mon côté en tout ce que l'on trouverait à propos pour parvenir à cette fin, et que même je suis prêt à donner l'exemple en



1 Die Declaration erfolgte am 3. Januar. Vergl. Preussische Staatsschriften I, 355.