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torp in Deutschland fordert, und dass es im Einvernehmen mit Frankreich handelt. Der englische Gesandte Titley und der rassische, Korff, sind sehr beunruhigt, um so mehr als Cheusses aus Berlin gemeldet haben soll, der König habe sich sehr günstig für Dänemark ausgesprochen.

geringsten Theil nähme noch nehmen würde.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.


1181. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

Beess berichtet, Dresden 27. August: Durch, einen mit dem Secretär des Pater Guarini befreundeten Vasallen des Königs ist ihm die Mittheilung gemacht worden, „que par les instigations et sous les auspices du Pape et par l'entremise d'un noble Vénétien ... la reine de Hongrie avait proposé à cette cour de conclure une alliance avec elle aux conditions suivantes, savoir que, comme la Reine . . . avait le dessein, dès qu'elle aura fait sa paix avec la France, de tomber sur la Silésie et de la reprendre, dans le même temps 30,000 Russiens doivent attaquer le royaume de Prusse, tandis que la Suède, excitée par la Russie, fera nn transport de ses troupes à Stralsund pour recupérer la Poméranie, et que, pour mettre le comble, les Saxons feront une irruption dans le duché de Magdebourg.“

Ich glaubte wohl, dass von einem Pfaffen oder auch wohl in Dresden dergleichen Project gemachet sein könnte, so wie es der dortige Hof zu haben wünschete; es wäre aber so gefasset, dass es nach denen jetzigen Conjoncturen in den mehristen Umständen chimérique und impracticabel wäre, daher er nur kein Geld daran wenden möchte, solchen praetendirten Tractat zu bekommen.

Mündliche Resolution (praes. 31. August). Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.


1182. AU MAJOR GÉNÉRAL COMTE DE ROTHENBURG A AIX-LA-CHAPELLE.

Potsdam, 1er septembre 1743.

Mon cher Rothenburg. Vous recevrez ma lettre sur votre retour, à ce que je pense, car vous partez demain. Je souhaite de tout mon cœur que votre santé se remette tout-à-fait, car personne assurément n'y prend plus de part que moi.

Vous aurez assurément vu par le mémoire du comte de La Marek que les Français voudraient beaucoup que je leur tirasse l'épine du pied;1 il y a dans toutes les choses qu'il dit quelque peu de vérité,



1 Ueber Voltaire's Bemühungen in dieser Richtung im September 1743 vergl. Œuvres de Frédéric le Grand III, 23; XXII, 141.