<485>pourrait prendre des engagements avec le jeune Duc pour l'attacher à ses intérêts, s'étant prêté avec tant de facilité à la dispense d'âge. Je les enverrai d'abord à Berlin, et après que le Roi les aura approuvés, on pourra les signer à Francfort, en vertu des pleins-pouvoirs des ministres de l'Empereur, du Roi, et du jeune Duc. Il faut aussi de toute nécessité que le diplome soit antidaté, parce qu'on ne peut prendre des engagements sûrs avec un prince mineur. La convention avec le jeune Duc se fera sous la garantie du Roi, à la réquisition de l'Empereur.

Federic.

Klinggræffen.

Nach der Ausfertigung (von Klinggräffen's Hand).


1281. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

Beess berichtet, Dresden 7. Dezember: „Ayant observé, depuis le retour de la cour d'ici, que le comte d'Esterhazy conférait plus assidûment que de coutume avec le ministère de Saxe, j'ai cherché l'occasion d'en parler aux ministres de cette cour. . . . . Ils m'ont répondu que le cartel auquel on travaillait depuis longtemps, venait enfin d'être réglé sur le même pied qu'il était établi sous le règne de feu l'Empereur.“ Der neapolitanische Gesandte Graf Bolognini versichert ihm, dass der Hauptgegenstand der Verhandlung die Herbeiführung der Neutralität für Neapel sei, für die sich König August als Schwiegervater des Königs beider Sicilien lebhaft interessire.

Berlin, 10. December 1743.

Er muss auf des Esterhazy Negociation sehr vigiliren, und wenn es weiter damit gehet, auf alle Weise suchen, dahinter zu kommen, worüber eigentlich tractiret wird, worunter er den Desalleurs und Bolognini mit zu Hülfe zu nehmen bemühet sein muss.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.


1282. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

O. Podewils berichtet, Haag 6. December, über einen Besuch, den ihm der Marquis Fénelon und der Abbé de la Ville gern achthaben. Sie haben sehr warm ein enges Einvernehmen zwischen Preussen und Frankreich befürwortet. Podewils hat mit allgemeinen Freundschaftsversicherungen geantwortet und auf die Bemühungen des Königs für den Frieden hingewiesen.

Berlin, 11. December 1743.

Er hat an Fénelon sehr wohl geantwortet, und wann dieser über solches Sujet ferner mit ihm sprechen sollte, so soll er ihm nur sehr vague antworten, dass, weil es nur des Fénelon eigne Idées wären, er ihm darauf nichts sagen könnte.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.