1024. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

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Andrié berichtet, London 4. December: „Milord Carteret m'a informé qu'afin que les troupes [anglaises et hessoises en Flandre} fussent d'un secours plus efficace à la cour de Vienne, Sa Majesté Britannique avait pris le parti de les laisser entièrement, sur le pied d'auxiliaires, à la disposition de la reine de Hongrie ... que lesdites troupes faisaient déjà quelques mouvements en Flandre en conformité, mais qu'il ne pouvait pas

Berlin, 16. December 1742.

Es wird gut sein, dass Andrié eine kurze und polie Declaration wegen des Marsches der Truppen nach Teutschland des ohngefährlichen Einhalts thut : Der König von Engelland möchte beherzigen, dass, wenn man Truppen nach Teutschland marschiren lassen

m'assurer encore si la cour de Vienne prendra la résolution de faire passer cette armée en Allemagne cet hiver ou non“ .... Der französische Gesandte hat Carteret gefragt : „Vous voudriez donc, Milord, nous obliger à une paix honteuse? — Sans doute, répondit milord Carteret, et c'est mon unique occupation depuis que je suis dans les affaires — en ajoutant: Je me flatte même d'y réussir.“

wollte, solches kein Fürst des Reiches, am allerwenigsten aber Ich, mit indifferenten Augen ansehen könnte. Das Reich müsste dadurch ruiniret und die Freiheit dessen ganz infringiret werden, welche zu souteniren und zu conserviren Mir und allen Reichsständen obliege.302-1

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.



302-1 Die Declaration erfolgte am 3. Januar. Vergl. Preussische Staatsschriften I, 355.