1083. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

Podewils berichtet, Berlin 8. März : ... „Rien ne serait plus facile que de rengainer les Hanovriens par la moindre levée de boucliers, si la seule considération que Votre Majesté ne saurait rompre avec les Hanovriens sans rompre en même temps de nouveau avec la reine de Hongrie, ne L'arrêtait pas et ne méritait d'y penser plus d'une fois .... Cependant j'avoue qu'il y a de terribles inconvénients à craindre, si la reine de Hongrie et ses alliés gagnent entièrement le haut du pavé en Allemagne et que la France n'agisse pas avec la vigueur requise. ... Il dépendra uniquement de Votre Majesté et de Ses grandes lumières quel parti Elle jugera le plus convenable à Ses véritables intérêts et à Sa solide gloire et à l'avantage de Ses États, puisqu'il est très difficile de donner des conseils dans une affaire qui présente des précipices de deux côtés. Il ne me restera que la gloire de l'obéissance et d'exécuter fidèlement les ordres que Votre Majesté trouvera à propos de me donner.“

Potsdam, 9. März 1743.

Ich erkenne sehr wohl, dass es jetzo die Zeit nicht ist, loszubrechen, und werde Ich die erste Action zwischen den Franzosen und den Engelländern abwarten, auch nach deren Ausschlag alsdann Meine Mesures nehmen. Meine Intention ist gar nicht, de but en blanc loszubrechen, inzwischen aber durch gütliche Repraesentationes alles Uebel, so viel möglich ist, abzuwenden, als dergleichen Vorstellung zu thun man nicht unterlassen muss. Dieses, was Ich ihm schreiben lasse, muss wohl secretiret werden.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabiuetssecretärs.