1560. AU MARQUIS DE VALORY, ENVOYÉ DE FRANCE, A BERLIN.

Camp de Budin, 31 août [1744].

Monsieur. Je vous sais un gré très particulier de la promptitude avec laquelle vous m'informez, en date du 24 de ce mois, du rétablissement du Roi votre maître; je m'intéresse trop sincèrement à tout ce qui peut regarder la personne de ce grand prince et ses intérêts, pour <261>ne pas ressentir de cette agréable nouvelle une satisfaction inexprimable. Je vous remercie en même temps de la peine que vous avez prise en me faisant bien parvenir la dépêche du comte Schmettau. Au reste, je souhaiterais fort de vous revoir ici. Sur cela, je prie Dieu etc.

Federic.

Mon gros Valory, nous prendrons Prague, tandis que vos Français ne feront que des sottises.

Nach dem Abdruck in den Mémoires des négociations du marquis de Valory Il, 285.