1608. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

Wallenrodt schreibt an Podewils, Warschau 18. September (am 28. September von Podewils an den König mitgetheilt) : „Je ne me fie pas à la cour de Russie, qu'elle nous assure tant qu'elle veut de toute amitié: latet semper anguis sub herba, ce que je puis remarquer par Keyserlingk .... Il est certain que la Diète sera critique au possible ; la cour fera tous ses efforts de soutenir son possible, la famille de Czartoryski fera de même, car son salut et tout son crédit en dépendent ; les cours de Vienne et de Londres ne manqueront pas de faire jouer également leurs ressorts, en semant de l'argent: nous autres, au contraire, nous ne faisons rien et nous voulons qu'on nous serve pour l'amour de nos beaux yeux.“

Alles gut, aber grosse Summen Geldes in Polen anzuwenden finde Ich nicht von Meiner Convenienz, zumalen bei jetzigen Conjuncturen, und wenn es absolument auf Geldgeben ankommet, so würde Ich doch den sächsischen Hof en égard der Chargen und Beneficien, so er in Polen zu disponiren hat, nie balanciren können.

Mündliche Resolution (praes. 1. Nov.). Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.