3308. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION DE VOSS A VARSOVIE.
Potsdam, 25 octobre 1748.
Il ne me reste à vous dire sur votre dépêche du 16 de ce mois, outre le rescrit qui vous parviendra avec cette poste du département des affaires étrangères,270-1 si ce n'est que je ne saurais juger autrement par la réponse que vous a donnée le comte Brühl touchant l'affaire de la tutelle de Weimar,270-2 que ce dernier pourrait bien n'être pas d'humeur à entrer en matière là-dessus avec vous. Quoi qu'il en soit, vous ne laisserez de le presser en son temps sur la réponse qu'il vous a fait espérer qu'il vous donnerait sur cette affaire. Vous vous expliquerez distinctement envers moi, le plus tôt que faire se pourra, quelles pourraient donc être enfin les affaires à mettre en délibération, pendant la présente Diète, dont il serait à craindre qu'il n'en résultât un aussi insigne désavantage pour mes intérêts.
Federic.
Nach dem Concept.
270-1 Vergl. Nr. 3303 S. 267.
270-2 Vergl. S. 230.