4203. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION ERNEST-JEAN DE VOSS A DRESDE.

Potsdam, 24 mars 1750.

J'applaudis à vos idées et aux réflexions que vous faites en conséquence, contenues dans votre dépêche du 17 de ce mois, relativement à la prochaine Diète de Pologne, et je suis bien du sentiment que la voie la plus sûre est incontestablement de se servir, pour la rendre infructueuse, de remèdes tout différents de ceux auxquels on a eu recours pendant les précédentes Diètes.

Mais comme je vous ai déjà instruit de diriger votre route ici par Potsdam pour y prendre mes ordres, quand vous irez à Varsovie, je me réserve de vous parler alors moi-même sur tout ce qui a du rapport à la susmentionnée Diète.

Federic.

Nach dem Concept