Erläuterung zu Œuvres de Fréderic II Roi de Prusse publiées du vivant de l'auteur und Œuvres posthumes de Fréderic II, Roi de Prusse aus J. D. E. Preuß: Friedrich der Große. Eine Lebensgeschichte (Bd. 4, Berlin: Nauckische Buchhandlung, 1833, S. 351-363):


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Der große König hatte über eine Gesammtausgabe seiner Werke nichts verfügt; aber er hatte die kostbaren Handschriften zum Theil so sorgsam gefeilt, zum Theil so weise geborgen, daß ein gewissenhafter und dem wichtigen Geschäfte gewachsener Verein die Ordnung und den Druck dieses seltenen literarischen Nachlasses bequem hatte veranstalten können.
Nicht alle noch ungedruckte Werke des Königs waren Statseigenthum. Denn die großen geschichtlichen Denkmäler zur Verherrlichung der preußischen Armee, viele Gedichte, Briefe sammt Antworten, politische und philosophische Abhandlungen lagen wohl in den Schlössern von Potsdam und SansSouci zur Verfügung des Thronfolgers: aber Friedrich hatte große Massen seiner anderen Geistesarbeiten in guter Absicht verschenkt, namentlich auch an seinen vieljährigen Sekretär Villaume1), welchem Engländer und Franzosen, noch ehe der gute alte König die Augen geschlossen hatte, ungemeine Summen für das Ehrenerbe boten.
Es kam also, wenn eine Gesammtausgabe von Friedrich's Werken veranstaltet werden sollte, zunächst darauf an, alle Handschriften zu sammeln und zum Drucke würdig vorzubereiten.
In der That erinnerte sich der neue König noch in dem ersten Monate seiner Regirung dieser wichtigen Angelegenheit, wie der folgende Brief beweiset.

1) Villaume, der Sohn von Voltaire's Sekretär, ist den 10. Januar 1811 im 76. Jahre verstorben. Er kam schon 1755 als Kopist zum Könige; s. Darget's Brief an den König vom 8. Jul 1755 im Supplément aux Œuvres posth. T. 3. p.144, wo er Willelme genannt wird. Der König nennt ihn in einem Briefe an Voltaire, den 17. Februar 1770, William Lorrain (Oeuvres complètes de Voltaire. A Basle, 1792, T. 76. p.204.210.211.

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"Au Secrétaire Villaume, Administrateur de la Brasserie Royale, à Potsdam."
"Le Roi désirant d'avoir une connoissanuce exacte, des manuscrits et correspondances particulières, que le Roi defunt a confiées à la garde de Son Secretaire particulier, l'Administrateur de la Brasserie Royale Villaume à Potsdam; Sa Majesté Lui demande incessament une spécification detaillée des premiers, et une note générale des dernières, avec ordre, de n'en rien communiquer, et encore moins faire imprimer, sans Sa permission expresse, sous peine, d'en être rendu responsable.
D'ailleurs et comme l'on prétend, que le Roi défunt Lui a fait présent de tous ces différents papiers, le dit Villaume aura soin, d'informer en même tems Sa Majesté de ce qui en est, pour lui faire savoir Ses intentions ultérieures.
Berlin, ce 1. de Septembre 1786. Fred. Guillaume."

Villaume's Antwort:

"Sire,
Je mets aux pieds de V. M. la spécification des manu­scripts du feu Roi selon Ses gracieux ordres qui me sont parvenus le 2. de ce Mois: et comme parmi ces Papiers il se trouve un petit Paquet à l'Adresse au Roi de Prusse seul, je le joins trèshumblement à cette spécification. J'ai résisté, Sire, par Respect pour Ses grandes occupations au désir que j'avois de mêler ma voix à celle de tout Son Peuple pour la féliciter à Son avènement au Throne et de demander les ordres de V. M. touchant les Manuscripts dont feu le Roi m'a gracieusé; mais je ne crois pas cepen­dant d'avoir manqué à mon devoir, puisque je me suis adressé aussitôt à Son Ministre d'Etat Mr. de Hertzberg, qui étoit de mon sentiment de ne pas importuner dabord V. M. puisqu'il savoit que les Manuscripts étoient en bonnes mains.
En remettant à V. M. ces Manuscripts avec une confiance respectueuse, Elle me permettra de Lui faire obser­ver en même tems que je Lui remets la plus grande partie de ma fortune. Feu S. M. m'en avoit gracieusé pour

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me recompenser de la fidélité et du zèle que' j'ose assurer avoir mis à Son service pendant trente et un an passé. Ce qu'il y a de plus piquant parmi ces Papiers paroit devoir être sacrifié aux Interèts de l'Etat. C'est V. M. seule qui en décidera, et par consequent de mon sort et de celui d'une nombreuse famille.
Voici, Sire, de quelle Manière je suis parvenu à la possession des Manuscrits:
Lorsque Mr. de Catt eut le Malheur d'avoir déplu au feu Roi, Sa M. me fit apeller, et après m'avoir dicté quel­ques Lettres, Elle me dit qu'Elle me faisoit présent des Papiers que Mr. de Catt avoit; que je devois me les faire donner et qu'Elle continueroit à augmenter ces Manuscrits, ce qu'Elle a daigné faire en me disant à plusieurs repri­ses, que je pourrois un jour en faire mon profit.
J'ai l'honneur d'être avec le plus profond respect
Sir de V. M. Le etc. Villaume."
Potsdam, ce 4. de Septembre 1786.
Villaume einigte sich um eine mäßige Summe mit der Regirung und übergab derselben den ganzen Besitz seiner Handschriften Friedrich's des Großen gegen den folgenden Empfangsschein:
"Spécification des Manuscripts de feu S. M. que j'ai remis le 10. de Février 1787 à Monsieur le Conseiller privé des Finances de Woellner.

Nr. 1. Contenant:
1) Règles de ce qu'on exige d'un bon Commandeur de Bataillon en tems de Guerre.
2) Pensées et règles générales pour In Guerre.
3) Avantpropos pour un Livre de Siège.
4) Des marches d'Armée et de ce qu'il faut observer à cet égard.
5) Reflexions sur les Projets de Campagne.

Nr. 2. Contenant:
1) Ode au Sujet des Jugements que le Public porte sur

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ceux qui sont chargés dans la Société civile du mal­heureux emploi de politique.
2) Une Lettre à S. M. Frédéric III.
3) Une Lettre en vers de S. M. à Cesarion.
4) Huit Lettres de S. M. à Mr. de Voltaire.
5) Une Chanson.
6) Huit Lettres de Mr. de Voltaire à Mr. Jordan.
7) Dix-sept Lettres à S. M. (NB.) Je crois qu'elles sont de Mr. Jordan.
8) Alexis. Tragédie en cinq Actes.

Nr. 3. Contenant:
1) Louis XIV. aux Champs Elisées. Drame.
2) Le Poëme sur le partage de la Pologne en VI Chants.
3) Epitres, Odes, Fables, Contes et autres Pièces en vers qui sont copiés dans le 3. Volume des Poésies de S. M.

Nr. 4.
1) Le troisième Volume des Poésies de S. M.

Nr. 5.
1) Oeuvres du Philosophe de SansSouci, avec Corrections.

Nr.6.
1) Commentaire théologique de Don Calmet sur Barbebleue.
2) Dialogue des Morts entre Madame de Pompadour et la Vierge Marie.
3) Dialogue des Morts entre le Duc de Choiseul, Epicure et le Comte Struensée.
4) Dialogue des Morts entre le Prince Eugène, Milord Marlborough et le Prince de Lichtenstein.
5) Essai sur les formes de Gouvernement et sur les de­voirs des Souverains.
6) Rêve.
7) Examen de l'essai des Préjugés.
8) Examen du système de la Nature.
9) Remarques sur le système de la Nature.

Nr. 7.
1) Trente-deux Lettres du Roi au Marquis d'Argens, datées.
2) Vingt-cinq Lettres de S. M. au même, prose et vers.
3) Trente-huit Lettres du Roi au même, sans date.

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Nr. 8.
1) Cent-quatorze Lettres de S. M. à Mr. de Voltaire.

Nr. 9.
1) Cent-quinze Lettres de S. M. à Mr. d'Alembert.

Nr. 10.
1) Cent vingt-six Lettres de Mr. d'Alembert à S. M.

Nr. 11.
1) Treize Lettres de Mr. de Grimm à S. M.
2) Dix-huit Lettres du Roi à Mr. de Grimm.
3) Huit Lettres de Mr. de Condorcet au Roi.
4) Dix Lettres du Roi à Mr. de Condorcet.
5) Une Lettre du Roi au Président Hénault.

Nr. 12.
1) Pièces qui ont été imprimées.

Nr. 13.
Note de Pierres montées en Or, Bagues, Pierres gravées, Engagement de Tassaert etc. Villaume.
"Reçu. de Woellner."

Der Geheime-Rath v. Wöllner, weIcher hier unterzeichnet steht und welcher den 3. Jul. 1788 Statsminister und Chef des geistlichen Departements wurde, erbat sich und erhielt alle, auch die für 12,000 Thlr. von Villaume erkauften Handschriften zum Geschenke, verkaufte sie an die Buchhändler Voss und Decker in Berlin und machte den französischen Prediger de Moulines zum "Revisor und Herausgeber der Hinterlassenen Werke des Königs" 1).
In dem "Prospectus pour l'édition des Oeuvres posthumes de Frédéric II. Roi de Prusse. Présentée au Public par les Libraires Voss et Decker. Berlin, 1. de Mars 1787" heißt es p. 3. "Pour convaincre le Public qu'on n'effacera rien d'essentiel de ces manuscrits, nous sommes autorisés à déclarer qu'aussitôt que l'impression sera achevée, ils se­ront reliés et déposés à la Bibliothèque Royale, où il sera permis à chacun de les voir. Le Ministre respectable, Monsieur le Comte de Hertzberg, qui a présidé à la revision

1) Friedrich des Zw. K. v. Pr. H. W. Aus dem Franz. übersetzt. Neue verb. u. verm. Aufl. Berlin 1789. Bd. 10. S. 140.

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de l'ouvrage, et qui a déjà dit dans son Mémoire histori­que du 25. de Janvier 1787, que ces excellens ouvrages se­ront imprimés sans aucun changement ni retranchement essentiel, nous permet encore d'en assurer le Public en son nom."
Es schien freilich seltsam genug, daß der Minister v. Wöllner, welcher von Friedrich die bittersten Kränkungen erduldet und welcher durch sein Religionsedikt und durch sein geschärftes Zensuredikt, mit Hülfe von Hermes, Hilmer und Hecker, die liberalen Ideen des großen Königs vernichten wollte, die ganze gebildete Welt mit den Werken des Philosophen von Sans-Souci zu beschenken gedachte. Doch konnte man sich wieder zufrieden geben, da de Moulines aus seinen literarischen Verbindungen mit Friedrich bekannt war und ein bewährter Statsminister desselben seinen Ehrennamen zum Pfande gab.
So erschien denn die ersehnte offizielle Ausgabe der Werke des Königs in drei Haupttheilen:
A. Oeuvres Posthumes de Frédéric II, Roi de Prusse. A Berlin, chez Voss et Fils et Decker et Fils 1788.
15 Volumes gr. 8. 18 Thlr.; herabges. Preis 9 Thlr.
B. Supplément aux Oeuvres Posthumes de Frédéric II. Roi de Prusse. Pour servir de suite à l'édition de Berlin. Contenant plusieurs Pièces qu'on attribue a cet illustre Auteur. Cologne (Berlin chez Voss et Decker) 1789. 6 Volumes, gr. 8. 9 Thlr., herabges. Preis 4 1/2 Thlr. Dieses Supplément ist zum Theil ein Nachdruck der "Oeuvres Posthumes de Frédéric le Grand," welche (ohne Anzeige des Druckorts und Verlegers, aber) in Basel bei Thurneisen, 1785 in 5 Bänden erschienen und wobei Handschriften aus Voltaire's und aus Darget's Nachlasse benutzt waren1), sodaß diese Baseler Ausgabe, wo sie der Berliner mit Recht zum Grunde liegt, als eine urkundliche angesehen und benutzt werden muss.
C. Oeuvres de Frédéric II. Roi de Prusse. Publiées du vivant de l'Auteur. A Berlin, chez Voss et Fils, et Decker et Fils 1789. 4 Volumes.

1) Der König hatte auch seinem literarischen Sekretär Darget, in frühheren Jahren, Abschriften von seinen Werken anvertraut.

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Diese, unter öffentlichem Ansehen veranstaltete Berliner Ausgabe der Werke des Königs ist, abgesehen von ihrem typographischen Werthe,
1) höchst unvollständig, da sie, außer manchem Andern, leider auch einen höchst karakteristischen Theil des Briefwechsels vermissen lässt, welchen Friedrich mit seiner Familie, mit seinen Freunden und mit andern wichtigen Personen geführt hat.
2) Auch verstümmelt hat der Graf v. Hertzberg die historischen Werke um ein Großes, was man Anfangs aus den offenbaren Lücken und ungeschickten Zusammenfügungen bloß errieth, da die öffentlich zugesagte Ausstellung der Handschriften in Vergessenheit gerathen war.
3) Was absichtlich sonst noch unterdrückt worden, ergiebt theilweise1) die Vergleichung mit dem Inhalte des obigen Villaumeschen Verzeichnisses.
4) Aus Unkunde der Herausgeber fehlen in den Oeuvres de Frédéric II. Roi de Prusse. Publiées du vivant de l'Auteur T. 3 die drei Elogen auf v. Keyserlingk, Duhan und v. Borcke.
5) Statt dessen haben die Berliner Herausgeber, aus dem 4. Bande p. 185 bis 320 der Baseler Ausgabe, die dem Könige gar nicht angehörigen Pensées sur la Religion, in das Supplément aux Oeuvres Posthumes T. 2. p. 1170, im guten Glauben an Herrn Thurneisen mit aufgenommen.
6) Eben so hat der Graf v. Hertzberg in den Oeuvres Posthumes T. 5. p. 335-354 mit seinen eigenen diplomatischen Arbeiten gefüllt und auch T. 6. p. 55. 56 einen seiner Briefe mit abdrucken lassen, der noch dazu Anlass gegeben, daß man die im Jahre 1777 abgefasste Abhandlung des Königs "Sur les formes de Gouvernenement" in das Jahr 1781 gesetzt hat. Dagegen findet man in des Grafen v. Hertzberg Recueil T. 2 p. 364 des Königs Pro-

1) Im Jahr 1783 kündigten drei Buchhandlungen auf einmal eine Sammlung von philosophischen Episteln aus Friedrichs des Gr. früheren Jahren an; Zahl und Inhalt waren in der Ankündigung sogar bestimmt; aber, anstatt der wirklichen Herausgabe war es auf einmal stille davon, und das Publikum hat nie erfahren, was daraus geworden ist; s. Jahrbücher der Preußischen Monarchie. Berlin bei Unger 1800. 1. Bd. S. 252.

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jet de Ia ligue1), welchen man in Friedrich's Welken vergeblich sucht.
7) Tome 4 und 5 des Supplément enthalten den Extrait du Dictionnaire historique et critique de Bayle und T. 6 den Abrégé de l'Histoire ecclesiastique de Fleury; aber man begreift eben sowenig, wie diese drei Bände zu des Königs Werken gerechnet werden konnten, als, wie man Friedrich's Extrait tiré des Commentaires du Chevalier Folard sur l'histoire de Polybe auslassen durfte, wenn man jene aufnahm.
8) Der Anti-Machiavel ist in dem 2. Bande der Oeuvres publiés du vivant de l'Auteur nach der vom Könige durchaus verworfenen verstümmelten Voltaireschen Ausgabe wiedergegeben, da man bei einem Privatmanne in Berlin Originalhandschriften hätte haben können.
9) Von den vielen militärischen Instrukzionen, die noch jetzt nicht alle beisammen sind und die der Redaktion eines gewandten Offiziers bedürfen, wie unsre vaterländische Armee sie jetzt in Massen besitzt, ist in den Oeuvres publiés du vivant de l'Auteur T. 3. p. 239-382 nur die eine "Instruction du Roi de Prusse pour ses Généraux," welche, wie die Note S. 239 selbst besagt, vom Könige deutsch diktirt worden, nach der französischen Übersetzung des sächsischen Oberstlieutenant Faesch abgedruckt worden.
10) Daß der so beschaffenen Berliner Ausgabe irgend ein Prinzip der Ordnung zum Grunde liegen könne, wird man nun schon nicht mehr glauben; aber — sich einen genügenden Begriff von der gränzenlosen Willkür zu machen2), welche bei dem Abdrucke vorgewaltet, das hält schwer. Wir heben nur Einzelnes aus.
a) Von den beiden gleichzeitigen ältesten Gedichten des Königs aus dem Feldzuge 1734 steht das eine in den Oeuvres publiés du vivant de

1) S. Preuß: Friedrich der Große. Eine Lebensgeschichte, Bd. 3. S. 561. Nr. 10.
2) "Moulines schickte die Handschriften zum Druck, ohne sie vorher angesehen oder auch nur die Pakete, worin sie zusammen gebunden waren, geöffnet zu haben. Die Ordnung des Abdrucks war daher den der Sachen und auch meistens der französischen Sprache unkundigen Setzern überlassen, welche nur zuweilen, wenn sie gar nicht sich zu helfen wussten, bei irgend Jemand Rath holten." v. Dohm Denkwürdigkeiten. Bd. 5. S. 49.

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l'Auteur T. 3. p. 517; das andere T. 4. p. 310, beide an der unrechten Stelle,
b) Der 6. Band der 0euvres posthumes enthält erstens zwei politische Abhandlungen, aus dem Jahre 1736 die eine, aus dem Jahre 1777 die andere; — dann drei Dialogen, und zwar zwei ächte und statt des dritten ächten eine fremde Arbeit; — ferner das Examen critique du Système de la Nature, hinter welchem man den ähnlichen Essai sur les Préjugés (welcher sich aber in den Oeuvres publiées du vivant de l'Auteur T. 2. p. 295-338 findet) erwarten sollte, statt dessen aber auf den jugendlichen Avant-Propos sur la Henriade stößt, auf welchen die Abhandlung Sur l'innocence des erreurs de l'esprit folgt und die poetischen Episteln an Jordan den Schluss machen: sodaß dieser eine einzige Band, abgesehen von dem unterdrückten und von dem unechten Dialog, das entsetzlichste Gemischgemasch von ästhetischem, poetischem, philosophischem allen Zeiten entlehnten Stoffe darstellt. Auch gehört der bei Weitem bedeutendste Inhalt dieses Bandes gar nicht in die Oeuvres posthumes, sondern in die Oeuvres publiées du vivant de l'Auteur.
c) Eine Hauptkonfusion herrscht in dem Briefwechsel des Königs: die prosaischen Briefe an Jordan (welche von den poetischen gar nicht zu trennen sind) stehen im 8. Bande der Oeuvres posthumes und die Antworten von Jordan im 12.; Friedrich's Briefe an d'Alembert1) stehen im 11. und 12. Bande der Oeuvres posthumes. Am Schlusse der mit Jahreszahl und Datum versehenen, folgt eine Anzahl sonder Zeitbestimmung, bunt durch einander, ohne daß man sich die Mühe genommen hätte, durch Vergleichung mit den, im 14. und 15. Bande abgedruckten Antworten, jeden an seinen Ort zu bringen2). — Am Unglücklichsten ist es grade der wichtigen Korrespondenz mit Voltaire ergangen: Friedrich's Briefe stehen im 8., 9. und 10. Bande

1) Alle seine Briefe an d'Alembert ließ der König von le Catt abschreiben und schickte nur die Kopien ab; die Originale behielt er zurück. Auch d'Alemberts Antworten sind alle noch vorhanden. Zimmermann Über Friedrich den Gr. Leipzig 1788. kl. 8. S. 178.
2) Der Brief an d Alembert T. 12 p. 35 z. B., in welchem Friedrich ihm seine Eloge de Voltaire schickt, ist die Antwort auf d'Alemberts Brief vom 3. Okt. 1778 und konnte also leicht an seinen Platz gestellt werden.

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der Oeuvres posthumes sehr lückenvoll und in dem Supplément T. 2 findet sich eine, aus der Baseler Ausgabe entlehnte Ergänzung; Voltaire's Antworten aber sucht man in den 25 Berliner Bänden ganz vergeblich.
11) Endlich gehen durch alle 25 Bände die sinnentstellendsten Druckfehler und Verdrehungen der Orts und der Personen-Namen. Viele von diesen Fehlern finden sich gewiss in den Originalhandschriften, da der Konig selbst in solchen Stücken Manches dem Sekretär gut zn machen zu überlassen pflegte. Auch scheinen die Herausgeber das gefühlt und zu verbessern gesucht haben. Denn in den Oeuvres publiées du vivant de l'Auteur T. 1. p. 326 Zeile 1 von oben z. B. liest man den Namen des Obersten, welcher unter dem großen Kurfürsten in der Schlacht bei Warschau ein Infanterieregiment befehligte, ganz richtig v. Dobeneck, welcher von Friedrich in der stattlichen Quartausgabe der Mémoires pour servir à l'histoire de la maison de Brandebourg vom Jahre 1767 T. 2. p. 185 in Taubenkehr verdrehet ist. So muss künftig die ganze Handschrift vor dem Drucke neu durchkorrigirt werden. Dazu hat es aber den Berliner Herausgebern an Fleiß, an Geschick, oder an Zeit gefehlt. Denn, sowie man in den Ouevres posthumes T. 1. p. 130 Monsieur Damrath statt Demerad, T. 5. p. 286 Ludwig den 15. während des baierschen Erbfolgekrieges statt Ludwigs des 16., T. 7. p. 210 Au Sieur Gellert statt Gottsched und T. 11. p. 296 Mayer statt Johannes v. Müller liest; so wird man an vielen andern Stellen durch ähnliche sinnentstellende Fehler aufgehalten, namentlich durch geographische, z. B. 0euvres posthumes T. 5. p. 240. 242, wo Koenigssaal steht und, was man beim ersten Blicke auf die Karte und auf den Marsch des Königs im Baierschen Kriege sieht, die Stadt Königshoff an der linken Elbe oberhalb Jaromirs sein soll.
Kleinere historische Tatsachen aus des Königs Leben auf diesen Berliner Druck zu begründen, ist ganz unstatthaft, weil, wie im Großen, so auch im Kleinen die Treue fehlt. Im Supplément T. 2. p. 178 z. B. ist der Brief an Voltaire vom 8. August 1736 "Féderic" unterschrieben; da Friedrich doch erst seit Ende Mai 1737 sich Federic, allemal ohne Akzent unterzeichnet1).

1)Correspondance avec Suhm. T. 2. p. 242.

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Was außer der Berliner und der Baseler Ausgabe von den Werken des Königs noch von Sammlungen derselben vorkommt, ist Nachdruck. Indess hat ein solcher sich eine Art von Ruf erworben, nämlich die sogenannte Amsterdamer Ausgabe, welche unter folgendem Titel erschienen ist:
Oeuvres primitives de Frédéric II. Roi de Prusse, ou Colleclion des ouvrnges qu'il publia pendant son règne. Amsterdam 1790. 4 Voll. gr. 8. und Oeuvres posthumes de Frédéric II. Roi de Prusse. Amsterdam 1789. 19 Voll. gr. 8.
Beide Abtheilungen dieser Ausgabe sind vollständig wieder nachgedruckt erschienen, auch in 23 Bänden, unter dem Druckorte "A Potsdam, Aux dépens des Associés. 1803". gr. 8.
Es ist dieser Amsterdamer und Potsdamer Nachdruck deshalb beliebt, weil er geordneter ist, als die Berliner Ausgabe und den Briefen gleich die Antworten (auch die Voltaireschen) beifügt.
Von deutschen Übersetzungen der Werke des großen Königs ist folgende die beste:
Friedrich des Zweiten, K. v. Pr., hinterlassene Werke. Neue viel vermehrte und verb. Auflage. Berlin bei Voß und Decker 1789. 15 Bände. gr. 8. 15 Thlr., herabgesetzter Pr. 8 Thlr.
Supplement zu der ersten Ausgabe der hinterlassenen Werke. Cölln (Berlin bei Voß und Decker) 1789. 4 Bände, gr. 8. 5 Thlr., herabges. Pr. 2 1/2 Thlr.
Friedrichs des Zweiten bei seinen Lebzeiten ge­druckte Werke. 4 Bände; nebst einem Anhange, oder 5. Bande. 6 Thlr. 8 Gr., herabges. Pr. 5 Thlr.
Das sind die Gesammtausgaben von Friedrich's Schriften. Sie genügen nicht und mahnen die Gegenwart kräftig daran, daß es ihre Pflicht sei, eine alte Ehrenschuld abzutragen. Und eher möge uns nicht die lange ersehnte stolze Freude werden, in Erz und Marmor ihn den Einzigen den Enkeln darzustellen, bis seine Geisteswerke ehrenhaft der Nachwelt übergeben sind.