7. Lettre de la Marquise de Pompadour à la Reine de Hongrie. 2 S. in 4°.
[XV, 84; 516]
Handschrift : - Originaldruck* : Königliches Hausarchiv mit der Bemerkung am Schluss von de Catts Hand : au camp de Schönfeld septembre 1758. Druckort : An v. d. Hellen 2. II. 59 : je vous adresse à la suite de cette lettre une pièce anecdote et très secrète, qui m'est parvenue de bon lieu et dont je souhaite fort, qu'elle soit imprimée en Hollande dans le dernier secret; an : 13. III, dankt der König pour l'impression de la lettre dont vous m'avez envoyé quelques exemplaires. Am 15. VI. spricht er seine Verwunderung aus, dass Hellen nichts geschrieben sur la lettre imprimée de la Pompadour à la Reine-Impératrice und deren Verbreitung in Frankreich, womöglich zu Händen der Pompadour selbst. An Hellen 12. VII. 59 : je n'apprends rien de la traduction en allemand de cette lettre, von welcher noch gar nicht die Rede gewesen war (Politische Correspondenz Friedrichs des Großen XVIII, 58, 109, 136, 324, 396).
An die Markgräfin von Bayreuth 10. IX. 58 (XXVII, 1, 320 = Politische Correspondenz Friedrichs des Großen XVII, 224) : je Vous envoie une sottise qui m'a passé par la tête pour m'amuser. vgl. Voltaire an den König VIII. 59 (XXIII, 58). An die Herzogin von Gotha 8. V. 60 (XVIII, 185) : ce qui m'enhardit à Vous envoyer une lettre assez singulière. Je me défends de mes dents et de mes griffes et si cela paraît un peu trop véhément, je Vous supplie de m'en obtenir l'absolution de M. Cyriacus. An d'Argens 12. V. 59 (vgl. bei Nr. 8)Worauf bezieht sich der Verweis, wenn wir die Nr. nicht übernehmen, an denselben 14. V. 60 (XIX, 165) : je vous envoie une petite lettre de la Pompadour, que je fis l'année passée et qui la mise au désespoir. d'Argens an den König 27. V. 60 (XIX, 171) : j'ai lu la Lettre de la Pompadour à la Reine; c'est la plus ingénieuse en même temps la plus sanglante satire. Je ne m'étonne pas qu'elle ait mis au désespoir une femme remplie d'orgueil. Si V. M. ne m'avait pas appris qu'Elle avait écrit la Lettre de la Pompadour à la Reine, croyez-Vous que je n'aurais pas senti que Vous en étiez l'auteur en lisant ces deux endroits u.s.w.