19. Eloge du Prince Henri de Prusse. Lu dans l'assemblée extraordi naire de l'académie Koyale des sciences le 30 décembre 1767. à Berlin chez Chrétien Frédéric Vois 1768. imprimé chez G. L. Winter. 8°. 30 S.
[VII, 37; 471]
Handschrift : - Originaldruck : Sammelband mit dem Aufdruck P, d.h. aus der Bibliothek des Königs im Stadtschloß in Potsdam (später Königliche Hausbibliothek). Sammelband mit dem Aufdruck S, d.h. aus der Bibliothek im Neuen Palais. Sammelband mit dem Aufdruck V, d.h. aus der Bibliothek in Sanssouci Königliche Bibliothek zu Berlin aus einer der Bibliotheken des Königs. Bibliothek der Prinzessin Amalie (Joachimsthalsches Gymnasium) u. s.
An d'Argens (XIX, 316) : Votre Divinité permettra que mon Humanité Lui offre un ouvrage lu dans l'académie. d'Argens an den König 5. I. 68 (XIX, 417) : Votre éloge du prince Henri m'a dégelé pendant une demi-heure et Votre éloquence a produit sur moi ce que le poêle le plus ardent n'a pu faire depuis trois semaines. An Fouquè 7. I. 68 (XX, 160) : je vous envoie ... les derniers offices que je rends à un neveu que j'ai beaucoup aimé. Je puis vous assurer qu'il n'y a rien d'ajouté et que son caractère et ses connaissances étaient telles que je les ai dépeintes. An d'Alembert 7.1 68 (XXIV, 429) : j'ai fait pleurer il y a quelques jours toute l'assemblée d'une académie ... au sujet du discours que je vous envoie selon l'usage parce que vous en êtes membre. d'Alembert an dên König 29. I. 68 (XXIV, 430) : je viens de recevoir et de lire avec la plus grande sensibilité l'Eloge que V. M. a fait du jeune et digne prince qu'Elle a eu le malheur de perdre. Cet ouvrage fait un honneur égal à l'esprit et aux sentiments du héros qui en est l'auteur. An d'Alembert 24. III. 68 (XXIV, 432) : vous avez reçu un éloge moins fait pour l'ostentation que pour la vérité. Je vous assure que le talent de l'orateur n'y était rien et que le témoignage unanime de l'auditoire a bien justifié l'auteur de cette accusation. An Prinz Ferdinand (ohne Datum) (XXVI, 557) : je suis bien aise que Vous approuviez le faible monument que j'ai élevé à notre pauvre neveu et je puis Vous assurer que je n'ai dit sur son sujet que la vérité tout simple et tout pure.