61. [Histoire de mon temps von 1742].
An den Grafen Podewils 13. XI. 1742 (Politische Correspondenz Friedrichs des Großen II. 292) : je travaille à mes Mémoires et je suis pardessus les oreilles dans les archives. An Voltaire 18. XI. 42. Vous m'avez si fort mis dans le goût du travail, que j'ai fait une Épître, une Comédie et des Mémoires, qui j'espère seront fort curieux ... je lie puis vous communiquer que des fragments de la troisième (pièce\ l'ouvrage entier n'est pas de nature d'être rendu public. An denselben 6. IV. 43 : je vous enverrai bientôt l'Avantpropos de mes Mémoires, je ne puis vous envoyer tout l'ouvrage, car il ne peut paraître qu'après ma mort et celle de mes contemporains et cela parcequ'il est écrit en toute vérité et que je ne me suis pas éloigné en quoi que ce soit de la fidélité. qu'un historien doit mettre dans son écrit. An denselben 21. V. 43 : je vous envoie l'Avantpropos de mes Mémoires, le reste n'est point ostensible. An denselben 8. IX. 43 : le reste de mes Mémoires est si fort barbouillé et en si mauvais état que je ne le puis vous envoyer.
Das einzige, was davon erhalten ist, Stücke aus der Vorrede (?), hat Arnheim Forschungen zur Brandenburgischen und Preußischen Geschichte XI. 515 ff. bekannt gemacht nach einer in Upsala befindlichen Abschrift, die sich der schwedische Zeremonienmeister Fredenheim hat machen lassen, vgl. seinen Brief an Gustav III. vom 1. Jan. 1790 : in der Nachbarschaft von Ferney habe er ausser anderen noch unbekannten Originalmanuskripten Friedrichs des Grossen gesehen : Kopie eines Ms. mit dem Titel (von Voltaires Hand) : Petits fragments des Mémoires du roi de Prusse écrits de sa main; das Autograph sei mit der Bibliothek Voltaires nach Petersburg in den Besitz der Kaiserin Katharina gekommen.
Über die Vorarbeiten Posner Miscellaneen zur Gesch. K. Friedrichs d. Gr.. S. 215 u. 313.