XXI.

Le malheureux empereur Charles VII, sans terre et sans pouvoir, est caractérisé en termes frappants dans le chapitre en question, qui raconte sa mort, survenue le 18 janvier 1745: „Il poussa la bienfaisance àl'excès, abusant de sa libéralité à un tel point qu'il fut réduit lui-même àl'indigence; il perdit deux fois ses états.“

Mortellement triste et abattu, les mains repliées l'une sur l'autre, il est assis dans un fauteuil richement sculpté. C'est ainsi que Menzel a représenté ce fantôme de souverain qui a déposé sa couronne. La tète baissée, le regard morne, accablé, toute son attitude contraste avec l'armure de parade dont il est revêtu.