Épître VII. À Maupertuis. La Providence ne s'intéresse point à l'individu, mais à l'espèce
Drucke vor Preuss
Preuss ediert den Text nach der Erstausgabe aus der Neuauflage der Œuvres du philosophe de Sans-souci aus dem Jahr 1752 (vgl. Leithäuser Nr. 167); zu weiteren Auflagen und Ausgaben s. Leithäuser Nr. 168-200).
Übersetzungen
Siebenter Brief. An Maupertuis. Die Vorsehung sorget nicht fuer jedes Einzelne besonders, sondern fuer das Ganze ueberhaupt. In: Werke des Philosophen von Sans-Souci. Aus dem Französischen. o. O. und o. V., 1760, S. 149-163.
Zwey ins deutsche übersetzte Briefe aus den Werken des Philosophen von Sans-Souçy [sic!]. Der siebende Brief. An Maupertuis. Die Vorsehung bekümmert sich nicht um jedes besondere Ding, sondern nur um eine ganze Art der Dinge. [Prosaübersetzung]. In: [Georg Schade]: Die unwandelbare und ewige Religion der ältesten Naturforscher und so genannten Adepten, oder geometrischer Beweis, daß die Metaphysik die wahre theoretische, und die Moral die wahre practische Gottesgelahrtheit sey. Berlin und Leipzig: s. e., 1760. 2. Anhang S. 1-7.
Werke des Philosophen von Sanssouci = Œeuvres du philosophe de Sans-Souci. Aus dem Französischen übersetzt von Hans W. Schumacher. Hrsg. von Jürgen Overhoff und Vanessa de Senarclens. Berlin: Akademie Verlag, 2012 (Friedrich der Große - Potsdamer Ausgabe ; Bd. 7), S. 202-217 und 567-569.
Weitere Literatur
Johann Stephan Müller; Johannes Philippus Wiener: La providence ne s'interesse point à l'individu mais à l'espece : (Oeuvres du philosophe de Sans-souci, Tom. 1, Epitre VII. à Maupertuis) vel Deus non individua sed species curat hoc principis decretum summa quam Deo atque principi debet pietate. Praeside Joanne Steph. Müllero ; ad disputandum proponit Joannes Philippus Wiener. Gießen, Univ., Diss., 1764. 72 S. Rezensiert in Gazette littéraire de l'Europe 5 (1765), S. 178-179: "On vient de soutenir à Giessen une Thèse d'un genre particulier. Son Auteur, Professeur de Théologie dans cette Université, en a pris le sujet dans un Ouvrage que l'on n'y auroit pas cru destiné. Voici le titre de la Dissertation. | La Providence ne s'intéresse pas à l'individu , mais à l'espece. (Œuvres du Philosophe de Sans-Souci, Tom. I. Epit. VII. à Maupertuis.) Deus non individua sed species curat. Hoc Principis Decretum summâquae Deo atque Principi debetur pietate, Praeside D. Joanne Stephano Mullero, S. Theol. P. 0. ad disputandum proposuit Joannes-Philippus Wiener, S. Theol. Cultor, die XXVIII Septembr. M.DCC.LXIIII. On trouve donc ici une discussion détaillée de ce principe, tant relativement aux notions de la Philosophie qu'à celles de la Théologie ; et l'Auteur se propose d'établir par ce moyen la vérité de la Doctrine contenue dans l'Epître du Philosophe de Sans-Souci à feu M. de Maupertuis. Pour mettre cette Doctrine dans un plus grand jour, on rassemble et l'on rapproche tous les autres partages des mêmes (Œuvres où il s'agit de la Providence. Le but de l'Auguste Auteur n'est point, selon M. Muller, de détruire l'idée de la Providence, mais de l'épurer et de la dégager de toute superstition. Les habiles Théologiens auront de la peine à admettre sur tout cela les idées de M. Muller."