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L. DIALOGUE DES MORTS ENTRE LE PRINCE EUGÈNE, MYLORD MARLBOROUGH ET LE PRINCE DE LICHTENSTEIN.

Marlborough.

Caron va mourir incessamment de faim; on ne passe plus sur sa barque. Depuis quelques jours nous n'avons point reçu de courriers de l'autre monde; si cela continue, nous ne saurons plus ce qui s'y passe; ce sera bien dommage.

Eugène.

Tous ceux qui meurent ne parviennent pas à ces heureux champs que nous habitons, beaucoup s'en vont au Tartare; et puis les maladies contagieuses, les pestes, la famine, ne ravagent pas toujours la terre. Donnez-vous patience, il en viendra de reste.

Marlborough.

Les Anglais se pendent assez volontiers dans l'arrière-saison; cependant je n'en vois point arriver. Peut-être qu'un bill du parlement a défendu à mes compatriotes de se pendre.

<285>Eugène.

Vous avez eu en dernier lieu mylord Chesterfield,285-a vous n'avez pas à vous plaindre, et moi mon parent le roi de Sardaigne.285-b On ne meurt pas tous les jours. Laissons les hommes vivre, pour qu'ils aient le temps de dévider la fusée des sottises qu'ils doivent achever avant de mourir. Mais ne vois-je pas une ombre?

Marlborough.

Oui, c'est un nouveau venu qui s'avance vers nous.

Eugène.

Je crois le connaître. N'êtes-vous pas le prince Wenceslas Lich-tenstein?285-c

Lichtenstein.

Oui, c'est moi, qu'une mort assez douloureuse vient d'arracher à ma famille, à mes grands biens, à mes honneurs.

Eugène.

C'est le sort commun de tous les hommes. Mais comme vous venez de loin, pour nous payer votre droit d'entrée, contez-nous les nouvelles du pays d'où vous venez.

Lichtenstein.

Il y en a beaucoup. Tout est changé; les temps passés sont éclipsés par les temps modernes. Vous ne reconnaîtriez plus l'Europe; on a fait des progrès en tous genres.

<286>Eugène.

Je ne reconnaîtrais plus l'Europe! Sans doute que cette maison impériale dont j'ai étendu et même affermi la puissance a fait de grands progrès, et s'est immensément accrue depuis mon temps?

Lichtenstein.

Ce n'est pas précisément cela; car depuis votre mort, après avoir été battus par les Turcs, les Prussiens et les Français, nous avons perdu une demi-douzaine de provinces; mais ce sont des bagatelles.

Eugène.

Vous êtes inconcevable. Si vous avez tant perdu, quels progrès avez-vous pu faire?

Lichtenstein.

Nous avons perfectionné nos finances; avec la moitié des provinces qui nous restent, nous avons plus de revenus que n'en eut jamais Charles VI avec le royaume de Naples, tout le Milanais, la Servie, la Silésie et Belgrad. Et quant au militaire, nous entretenons cent soixante mille hommes, que vous ne pûtes jamais payer de votre temps. Pour moi, j'ai travaillé à l'artillerie; j'ai dépensé trois cent mille écus de mon bien pour la mettre sur un bon pied.286-a Aussi une armée ne se meut-elle plus à moins de traîner quatre cents bouches à feu à sa suite. Vous n'entendiez rien à cet usage de l'artillerie, qui fait de nos camps des forteresses. A peine aviez-vous trente canons dans votre armée.

Eugène.

Il est vrai; mais avec ce peu de canons je battais l'ennemi, et ne me laissais pas battre.

<287>Lichtenstein.

On peut être battu; ce sont de petits malheurs qui peuvent arriver à un honnête homme.

Eugène.

Oui, mais non par sa faute.

Lichtenstein.

Oh! vous saurez qu'on juge bien mieux à présent qu'on ne faisait jadis. Notre raison a pris un pli géométrique qui la rend presque infaillible; mais je n'ose vous dire les jugements qu'elle produit.

Eugène.

Dites-le hardiment. Quoique morts, vous pourrez encore nous instruire.

Lichtenstein.

Puisque vous le voulez, vous saurez que le public a si fort élevé la réputation du maréchal Daun, quoique souvent malheureux, que son nom éclipse totalement le vôtre.

Marlborough.

Ètes-vous mort de la fièvre chaude, et le délire vous en est-il resté? Je ne croirai jamais que la mémoire d'Eugène puisse être avilie au point qu'on préfère un Daun battu à ce héros, qui était plus empereur que Charles VI, qui formait de savants projets de campagne, qui, sur le crédit de son grand nom, trouvait les sommes nécessaires pour mettre les troupes en mouvement, qui ensuite exécutait lui-même ses projets en battant l'ennemi et en conquérant de vastes provinces.

Lichtenstein.

Je n'ai point la fièvre chaude; c'est le public qui est en délire, et<288> qui reproche au prince Eugène de n'avoir pas su faire des relations circonstanciées de ses succès au conseil de guerre.

Marlborough, à Eugène.

On vous accuse de n'avoir pas été assez bon secrétaire. J'ai cru que le propre des héros était de faire de grandes actions et de laisser aux désœuvrés le soin d'en recueillir les détails.

Eugène.

Vraiment je me suis bien gardé d'étendre mes relations; il suffisait de notifier le résultat de mes opérations à mes ennemis, qui se trouvaient tous dans ce conseil de guerre. Si j'avais pu rendre mon style plus laconique, mes campagnes n'en auraient été que plus heureuses.

Marlborough.

J'en ai usé de même avec la reine Anne et son parlement. Nos maîtres étaient de vrais automates; que fallait-il de plus que de les informer sommairement du résultat de nos opérations? Ils ne pouvaient juger ni de nos desseins, de nos projets, ni des raisons que nous avions d'entreprendre plutôt une chose qu'une autre.

Lichtenstein.

Ce n'est pas mon sentiment propre; je ne fais que vous rendre compte de la façon de penser du public, je ne suis que nouvelliste. Mais, mylord, vous vous trouvez dans la même catégorie que le prince Eugène. Si je vous rapportais comment on raisonne en Angleterre, je craindrais fort de vous indigner.

Marlborough.

Parlez hardiment. Après ce que je viens d'entendre, rien ne peut m'étonner.

<289>Lichtenstein.

C'est en rougissant que je vous dirai que des gens qui ne savent ce que c'est qu'une compagnie, encore moins un bataillon, décident que vous n'étiez pas grand militaire, que vous deviez toute votre réputation à Cadogan,289-a que vous étiez politique rusé plutôt que grand général, capable de mouvoir tous les ressorts de l'intrigue dans votre parlement pour perpétuer la guerre et, sous cet abri, accumuler par des pillages les sommes considérables que vous avez amassées.

Marlborough.

Mon cas est singulier. J'ai été mortel, mais l'envie de mes ennemis m'a survécu. Oui, je me suis servi de Cadogan comme d'un habile homme que j'ai choisi pour m'assister dans mes travaux. Quel homme peut seul suffire pour mouvoir une armée? Il faut des assistants; plus l'on est aidé, et mieux en vont les affaires. J'ai eu des amis, même un parti dans le parlement; il le fallait bien, ou la mésintelligence intestine et le défaut d'assistance nous aurait ruinés, les plus beaux projets auraient manqué d'exécution. Et si j'ai tiré quelque argent des sauvegardes, c'était du pays de l'ennemi; c'est une rétribution légitime, due à tout général commandant en chef; tout autre en ma place en aurait fait autant et peut-être davantage.

Eugène.

Quoi! Höchstädt, Ramillies, Oudenarde, Malplaquet, n'ont pu servir de bouclier au nom de ce grand homme, et la victoire même n'a pu le défendre contre les indignes traits de l'envie! Et quel rôle aurait joué l'Angleterre sans ce vrai héros, qui l'a soutenue et l'a fait valoir, et qui l'aurait portée au comble de la grandeur, sans ces mi<290>sérables intrigues féminines dont la France profita pour le faire disgracier? Louis XIV était perdu, si le crédit de Marlborough s'était soutenu deux années encore.

Lichtenstein.

J'avoue que la reine Anne sans Marlborough et Charles VI sans Eugène auraient joué un triste rôle. C'est à vous deux seuls que ces deux monarchies doivent leur considération et leur gloire; les gens sensés en conviennent; mais il faut compter dans le monde mille imbéciles et cent fous contre un homme de bon sens. Ainsi vous ne devez pas vous étonner des jugements baroques que la postérité a portés sur vos personnes.

Eugène.

Il faut avouer que nous jouons de malheur. Quand il n'y a qu'une voix sur Alexandre, César, Scipion et Paul-Émile, pourquoi faut-il qu'après avoir fait de grandes choses comme eux, le public s'acharne sur notre réputation, tandis que la leur se soutient constamment, et que tout panégyriste s'efforce de leur comparer celui qu'il loue, pour l'honorer?

Lichtenstein.

Leur bonheur a voulu que dans leur siècle il n'y eût point d'encyclopédiste. 290-a

Marlborough.

Qu'est-ce qu'un encyclopédiste? Quel nom barbare! Est-ce un Iroquois? Je n'ai jamais entendu ce nom-là.

Lichtenstein.

Oh! je le crois bien; il n'en existait point de votre temps. Les encyclopédistes sont une secte de soi-disant philosophes formée de nos<291> jours; ils se croient supérieurs à tout ce que l'antiquité a produit en ce genre. A l'effronterie des cyniques ils joignent la noble impudence de débiter tous les paradoxes qui leur tombent dans l'esprit. Ils se targuent de géométrie, et soutiennent que ceux qui n'ont pas étudié cette science ont l'esprit faux, que par conséquent ils ont seuls le don de bien raisonner. Leurs discours les plus communs sont farcis de termes scientifiques. Ils diront, par exemple, que telles lois sont sagement établies en raison inverse du carré des distances; que telle puissance, prête à former une alliance avec une autre, se sent attirer à elle par l'effet de l'attraction, et que bientôt les deux nations seront assimilées. Si on leur propose une promenade, c'est le problème d'une courbe à résoudre. S'ils ont une colique néphrétique, ils s'en guérissent par les règles de l'hydrostatique. Si une puce les a mordus, ce sont des infiniment petits du premier ordre qui les incommodent. S'ils font une chute, c'est pour avoir perdu le centre de gravité. Si quelque folliculaire a l'audace de les attaquer, ils le noient dans un déluge d'encre et d'injures; ce crime de lèse-philosophie est irrémissible.

Eugène.

Mais quel rapport ont ces fous avec notre nom, avec le jugement qu'on porte de nous?

Lichtenstein.

Beaucoup plus que vous ne croyez, parce qu'ils dénigrent toutes les sciences, hors celle de leurs calculs. Les poésies sont des frivolités dont il faut exclure les fables; un poëte ne doit rimer avec énergie que les équations algébriques.291-a Pour l'histoire, ils veulent qu'on l'étudie à rebours, à commencer de nos temps pour remonter avant le déluge. Les gouvernements, ils les réforment tous; la France doit devenir un État républicain dont un géomètre sera le législateur, et que des géomètres gouverneront en soumettant toutes les opérations<292> de la nouvelle république au calcul infinitésimal. Cette république conservera une paix constante, et se soutiendra sans armée.

Marlborough.

Tout ce que j'entends est admirable. Mais ces encyclopédistes ne seraient-ils pas atteints des visions des primitifs, des quakers, des pensylvaniens?

Lichtenstein.

Vous les fâcheriez fort de le dire; ils se piquent bien d'être originaux.

Eugène.

Il me semble que cette paix perpétuelle était une vision d'un certain abbé de Saint-Pierre292-a qui de mon temps n'a pas mal été bafoué.

Lichtenstein.

Ils l'ont donc rappelée de l'oubli, car ils affectent tous une sainte horreur pour la guerre.

Eugène.

Il faut avouer que la guerre est un mal, mais qu'on ne saurait empêcher, faute d'un tribunal pour juger les causes des souverains.292-a

Lichtenstein.

S'ils haïssent les armées et les généraux qui se rendent célèbres, cela ne les empêche pas de se battre à coups de plume et de se dire souvent des grossièretés dignes des halles; et s'ils avaient des troupes, ils les feraient marcher les unes contre les autres.

Marlborough.

Il en coûte moins de répandre de l'encre que du sang; mais les injures sont pires que les blessures. 292-a Voyez t. IX, p. 36 et 163.

<293>Lichtenstein.

Pour l'art militaire, je n'ose dire devant d'aussi grands héros combien ils tâchent de l'avilir, et dans quels termes ils en parlent.

Marlborough.

Parlez hardiment; puisqu'ils détruisent tout, il faut bien que dans ce conflit universel nous ayons notre part.

Lichtenstein.

Ces messieurs prétendent que vous n'avez été que des chefs de brigands, auxquels un tyran a confié des bourreaux mercenaires293-a pour exécuter en son nom tous les crimes et toutes les horreurs possibles sur des peuples innocents.

Eugène.

Ce sont des propos de charretiers ivres. Socrate, Aristote, Gassendi ni Bayle ne s'exprimaient pas ainsi.

Lichtenstein.

Loin d'être ivres, ils sont souvent à jeun; leur bourse n'est pas assez fournie pour faire bombance. En leur style, ces beaux propos s'appellent des libertés philosophiques; il faut penser tout haut, toute vérité est bonne à dire; et comme, selon leur sens, ils sont seuls les dépositaires des vérités, ils croient pouvoir débiter hardiment toutes les extravagances qui leur viennent dans l'esprit, sûrs d'être applaudis.

Marlborough.

Apparemment qu'il n'y a plus en Europe de Petites-Maisons; s'il en restait, mon avis serait d'y loger ces messieurs, pour qu'ils fussent les législateurs des fous, leurs semblables.

<294>Eugène.

Mon avis serait de leur donner à gouverner une province qui méritât d'être châtiée; ils apprendraient par leur expérience, après qu'ils y auraient tout mis sens dessus dessous, qu'ils sont des ignorants, que la critique est aisée, mais l'art difficile,294-a et surtout qu'on s'expose à dire force sottises quand on se mêle de parler de ce qu'on n'entend pas.

Lichtenstein.

Des présomptueux n'avouent jamais qu'ils ont tort. Selon leurs principes, le sage ne se trompe jamais, il est le seul éclairé. De lui doit émaner la lumière qui dissipe les sombres vapeurs dans lesquelles croupit le vulgaire imbécile et aveugle. Aussi Dieu sait comment ils l'éclairent : tantôt c'est en lui découvrant l'origine des préjugés,294-b tantôt c'est un livre sur l'esprit,294-b tantôt le système de la nature;294-b cela ne finit point. Un tas de polissons, soit par air ou par mode, se comptent parmi leurs disciples; ils affectent de les copier, et s'érigent en sous-précepteurs du genre humain; et comme il est plus facile de dire des injures que d'alléguer des raisons, le ton de leurs élèves est de se déchaîner indécemment en toute occasion contre les militaires.

Eugène.

Un fat trouve toujours un plus fat qui l'admire.294-c Mais les militaires souffrent-ils ces injures tranquillement?

Lichtenstein.

Ils laissent aboyer ces roquets, et continuent leur chemin.

<295>Marlborough.

Mais pourquoi cet acharnement contre la plus noble des professions, contre celle sous l'abri de laquelle les autres peuvent s'exercer en paix?

Lichtenstein.

Comme ils sont tous très-ignorants dans l'art de la guerre, ils croient rendre cet art méprisable en le déprimant; mais, comme je vous l'ai dit, ils décrient généralement toutes les sciences, et ils élèvent la seule géométrie sur ces débris, pour anéantir toute gloire étrangère et la concentrer uniquement sur leurs personnes.

Marlborough.

Mais nous n'avons méprisé ni la philosophie, ni la géométrie, ni les belles-lettres, et nous nous sommes contentés d'avoir du mérite dans notre genre.

Eugène.

J'ai plus fait. A Vienne, j'ai protégé tous les savants, et les ai distingués, lors même que personne n'en faisait aucun cas.

Lichtenstein.

Je le crois bien; c'est que vous étiez de grands hommes, et ces soi-disant philosophes ne sont que des polissons dont la vanité voudrait jouer un rôle. Cela n'empêche pas que ces injures si souvent répétées ne fassent du tort à la mémoire des grands hommes. On croit que raisonner hardiment de travers c'est être philosophe, et qu'avancer des paradoxes c'est emporter la palme. Combien n'ai-je pas entendu par de ridicules propos condamner vos plus belles actions, et vous traiter d'hommes qui avaient usurpé une réputation dans un siècle d'ignorance qui manquait de vrais appréciateurs du mérite!

<296>Marlborough.

Notre siècle, un siècle d'ignorance! Ah! je n'y tiens plus.

Lichtenstein.

Le siècle présent est celui des philosophes.

Eugène.

Où l'on est battu, où l'on perd des provinces, où l'on se croit supérieur à l'antiquité. Que vos philosophes disent ce qu'ils voudront, je préfère notre siècle d'ignorance au leur.

Marlborough.

L'Angleterre est-elle aussi infectée de vos encyclopédistes?

Lichtenstein.

Il y en a, mais pas tant qu'en France.

Marlborough.

Mais la France a-t-elle des généraux? Et comment peut-elle en avoir, s'ils sont vilipendés?

Lichtenstein.

Aussi sont-ils dignes de l'être; ce sont les ............

Marlborough.

Et l'Angleterre a-t-elle produit quelque grand général qui m'ait succédé?

Lichtenstein.

Le duc de Cumberland.

<297>Marlborough.

Combien de batailles a-t-il gagnées?

Lichtenstein.

Il a été battu à Fontenoi, à Hastenbeck, et a manqué d'être fait prisonnier de guerre à Stade, lui et son armée.297-a

Marlborough.

Vous vous moquez de nous, mon prince. Quoi! un Daun battu, un Cumberland étrillé, ce sont là les gens qu'on nous préfère!

Lichtenstein.

Non seulement eux, mais bien d'autres, qui à la vérité ont fait la guerre, mais n'ont pas commandé en chef, ne le céderaient ni à César ni à vous. Ces héros en herbe ont la noble audace de s'afficher, et leur présomption a été assez forte pour répandre son épidémie dans le public, qui ne présage que leurs futurs exploits.

Marlborough.

A quoi nous ont servi tant de travaux, tant de soins, tant de peines?

Eugène.

Vanité des vanités, vanité de la gloire!

(1773.)


285-a Né en 1694, mort le 24 mars 1773.

285-b Charles-Emmanuel III, qui mourut le 20 février 1773.

285-c Joseph-Wenceslas prince de Lichtenstein, né en 1696, mort le 10 février 1772.

286-a Voyez t. IV, p. 10.

289-a Le général comte William Cadogan fit la guerre de la succession d'Espagne sous le duc de Marlborough, en qualité de quartier-maître général. Il se distinguait par la promptitude avec laquelle il faisait exécuter les dispositions de son chef. Il mourut en 1726.

290-a Voyez t. IX, p. IX, X et XV; et t. XIII, p. 87.

291-a Voyez les Réflexions sur les réflexions des géomètres, t. IX, p. 71 et suiv.

292-a Voyez t. IX, p. 36 et 163.

293-a Voyez t. IX, p. 160.

294-a Voyez t. X, p. 246.

294-b Voyez t. IX, Avertissement de l'Éditeur, nos XI et XII.
     Le livre de l'Esprit, par Helvétius, avait paru en 1758.

294-c Voyez t. X, p. 157.

297-a Voyez t. III, p. 108-110, et t. IV, p. 156-158, 162 et 163.