<357> Hoff, et j'attends de vous trouver infailliblement ce jour-là à Gera, pour vous y parler.
3. AU MÊME.
Potsdam, 27 septembre 1743.
La présente n'est que pour dire que, dans l'espérance que vous ferez tout au monde pour disposer la duchesse de Gotha pour qu'elle vienne faire un tour à Berlin dans l'hiver qui vient, et pour m'acquitter en même temps de la somme de cinq mille écus que je vous ai promise il y a quelque temps, je vous ai donné un canonicat qui vient à vaquer auprès de l'église de Notre-Dame, à Halberstadt, et vous verrez, par la copie ci-jointe, ce que j'en ai ordonné. J'y mets encore la condition que vous séjournerez après cela, sans discontinuer, à Berlin, et que vous laisserez passer au moins un an sans demander la permission de retourner à Molsdorf. Sur cela, je prie Dieu de vous avoir dans sa sainte et digne garde.
Federic.
4. AU MÊME.
Potsdam, 27 septembre 1743.
Mon cher comte de Gotter, ce n'a été qu'ici que j'ai reçu votre lettre du ai de ce mois, par laquelle vous me rendez compte de l'idée qu'on s'est formée de ma route, et de l'obligeante attention du Duc et de la