<52> V. M. me sont trop précieuses pour en négliger aucune. J'espère qu'elle recevra avec sa bonté ordinaire ce nouvel hommage, que je rends plus encore au philosophe qu'au roi.
Si j'osais, je supplierais V. M. de me permettre de lui témoigner la joie que je ressens de voir S. A. R. la princesse Ulrique remplacer par ses talents la reine Christine; elle était seule digne de remplir le trône de cette illustre reine.
Je suis avec l'attachement le plus inviolable et le plus profond respect, etc.