63. AU COMTE ALGAROTTI.
Potsdam, 5 mai 1750.
J'ai bien reçu votre lettre du 2 de ce mois, et je vous remercie du présent que vous me faites de douze boutargues de Venise. Je suis également sensible à l'attention que vous me marquez en m'envoyant votre lettre sur le César de Voltaire. Ce morceau aura sans doute l'approbation de tout le monde, puisqu'il est de votre goût. Sur ce, je prie Dieu qu'il vous ait en sa sainte et digne garde.
Federic.