<482> satisfaction que vous devez en attendre. Sur ce, je prie Dieu qu'il vous ait en sa sainte et digne garde.
P. S. Votre seconde lettre vient de me parvenir. Soyez assurée qu'on ne fera point ici aucun mauvais usage de ce que vous me mandez. Je souhaite que vous soyez contente des égards que votre famille vous marquera sans doute. Mais, si vous vous trouviez dans le cas d'avoir besoin de mon appui pour vous garantir des mauvais procédés, de quelque nature qu'ils soient, marquez-le-moi naturellement. Dites-moi si l'on pourrait faire au marquis une épitaphe, et si cela pourrait se réaliser dans le pays où vous êtes, sans vous exposer et lui.