46. AU BARON DE L. M. FOUQUÉ.

Le 6 juin 1765.

Je serai le 9 à midi chez vous, mon cher ami. Je viens tout seul; cela n'exige ni festin, ni dépense. Le pot-au-feu, pris à la lettre, est suffisant. Je souhaite de vous y voir en bonne santé, gai et de bonne humeur.

<158>Ici, à la revue, il y a eu du haut et du bas. Ce n'est ni comme à Berlin, ni comme à Stettin; mais il faut que cela vienne. Adieu, mon cher ami; je vous embrasse tendrement.