10. AU MÊME.
Romberg, 4 septembre 1766.
Monsieur le comte de Hoditz, j'ai reçu votre lettre du 1er de ce mois, et je suis bien sensible à la reconnaissance que vous m'y témoignez de l'accueil que je vous ai fait à Neisse. Je vous prie d'être persuadé que j'ai été charmé de vous y voir, et que les sentiments d'attachement que vous me marquez me sont des plus agréables. Sur ce, etc.
244-aJe pars dans trois jours, mon cher comte, et je vous recommande à la protection de celui qui veille sur tous ses ouvrages, me flattant de vous revoir sain, gai et content.
244-a De la main du Roi.