26. AU MÊME.
Neisse, 31 août 1770.
Monsieur le comte de Hoditz, je reconnais entre autres à la façon dont vous vous exprimez, dans votre lettre du 30 de ce mois, à l'oc<253>casion du désastre qui est arrivé au général-major d'Anhalt,253-a à quel point vous m'aimez. Je vous en sais le gré le plus parfait, et je puis vous dire, pour vous rassurer sur son sujet, que le mal qui lui est arrivé par la fatale chute qu'il a faite n'est pas sans espoir, et que je m'attends à le voir hors de danger et rétabli en peu. Je compte, au reste, toujours d'avoir le plaisir de vous voir le 2 de septembre, et ma satisfaction de vous rencontrer bien portant égalera l'estime et l'amitié que j'ai pour vous. Sur ce, etc.
253-a Henri-Guillaume d'Anhalt. Voyez t. V, p. 115 et 239, et t. VI. p. 166.