47. AU MÊME.
Wenig-Mohnau, 31 août 1772.
Monsieur le comte de Hoditz, ce sont les sentiments d'amitié et d'attachement que vous avez pour moi qui vous ont dicté la lettre que<264> vous m'avez écrite le 27 de ce mois. Comptez que j'y suis très-sensible. Votre présence à Neisse m'a fait un vrai plaisir, et je partirai content d'ici de vous avoir vu, et les nouvelles que de temps en temps je pourrai recevoir de votre santé me seront toujours agréables au delà de l'expression. Et sur ce, etc.