74. AU MÊME.
Potsdam, 15 septembre 1777.
Monsieur le comte de Hoditz, je vous sais un gré parfait de la part que vous prenez à l'état de ma santé, et vous remercie des vœux que vous faites pour l'accélération de mon rétablissement, qui, j'espère,<281> ne tardera pas. La sincérité qui règne dans vos procédés ne me laissant nul doute sur la nature de vos sentiments, il m'est toujours agréable de vous témoigner combien je vous estime. Sur ce, etc.