<107>périence à la guerre que cet art est intarissable, et que, en le recherchant, on découvre sans cesse de nouvelles choses; et je ne croirai point avoir perdu mon temps, si cet ouvrage donne lieu à mes officiers de faire des réflexions sur un métier qui leur ouvre la carrière la plus brillante pour se couvrir de gloire, et qui, dérobant leurs noms à la nuit des temps, leur assure l'immortalité pour prix de leurs travaux. Dixit
Federic.
(Potsdam) 2 avril 1748.