<36>Venez, Plaisirs charmants, venez, Grâces naïves,
Que vos jeux désormais embellissent nos rives;
Je consacre mon luth au beau dieu des amours,
Je suis sous son empire,
Déjà ce dieu m'inspire,
Adieu, Mars, pour toujours.
(Envoyée à Voltaire le 10 juin 1749.)