<158>parti de s'en consoler, assuré que la postérité ne pourra cesser d'admirer un ouvrage où elle trouvera fondus ensemble tous les poëmes épiques qui ont été faits depuis Noé jusqu'à nos jours. Pour donner plus de poids à l'ouvrage, on ne manquera pas de faire imprimer à la tête les lettres les plus exagérées de flatterie qu'on aura écrites à l'auteur sur ce sujet, et M. Euler,a qui a perdu un œil en calculant, perdra l'autre en résolvant l'important problème du nombre innombrable d'éclats de rire que le monde fera à la lecture de ce grave ouvrage.
a Voyez t. LX, p. 74, et t. X, p. 158 et 196.