<134>De m'en sentir désabusé.
Contentons-nous de ce mélange
Auquel notre destin, marquis, nous a réduits;
L'homme tient de la brute et tant soit peu de l'ange,
De la clarté du jour et de l'ombre des nuits.
Par charité pour mes ennuis,
Épargnez-moi toute louange,
Et prenez-moi tel que je suis.
De Freyberg, ce 20 de mars 1760.