Pardonnez .... Vous voyez une mère éperdue;
Les dieux m'ont tout ravi, les dieux m'ont confondue.
AIR.
O dieux! dans l'horreur qui me presse,
Daignez m'accorder vos secours.
Prenez pitié de ma faiblesse;
De mon fils prolongez les jours.
Que cet amour tendre de mère,
Toujours trop prompt à s'épancher,
Ne découvre point un mystère
Que je dois au tyran cacher.
FIN DU PREMIER ACTE.