<XII>par la Correspondance de Frédéric II avec U.-F. de Suhm. A Berlin, 1787, t. II, p. 317, en y ajoutant les deux rédactions envoyées à Voltaire, l'une le 16 août 1737, la seconde le 19 avril 1738; ces deux rédactions font partie de la collection du comte de Suchtelen. Frédéric avait aussi communiqué cette Ode au pasteur Isaac de Beausobre, à Berlin, le 30 janvier 1737.

IV. VERS SUR L'EXISTENCE DE DIEU, COMPOSÉS PAR FRÉDÉRIC QUELQUES ANNÉES AVANT SA MORT.

Nous reproduisons cette poésie telle que nous l'avons trouvée dans le Politisches Journal (rédigé par Schirach). Hambourg, 1786, Jahrgang 1786, t. II, p. 1203-1205. Elle est quelque peu changée dans la réimpression qu'en a donnée le Supplément aux Œuvres posthumes de Frédéric II. Cologne, 1789, t. III, p. 380.

V. PARALLÈLE DE LA LIBERTÉ ET DES AGRÉMENTS QUE JE GOUTE ICI (A RHEINSBERG) DANS MA RETRAITE AVEC LA VIE PLEINE DE TROUBLE ET D'AGITATION QUE MENENT LES COURTISANS.

Ce Parallèle, inédit jusqu'à présent, fut envoyé à Voltaire le 30 octobre 1737; c'est le texte original, conservé à Saint-Pétersbourg, que nous reproduisons.

VI. A LA DIVINE ÉMILIE.

Cette épître à la marquise du Châtelet fut envoyée à Voltaire par l'Auteur, le 10 novembre 1737. Notre texte est tiré de la collection du comte de Suchtelen. La réponse que Voltaire fit à cette pièce, au nom de son amie, se trouve dans les Œuvres de Voltaire, t. XIII, p. 135.

VII. POËME ADRESSÉ AU SIEUR ANTOINE PESNE.

Antoine Pesne naquit à Paris, le 25 mai 1683. Le 6 mai 1711 il fut nommé membre de l'Académie des peintres de Berlin, où il mourut le 5 août 1757. Frédéric lui adressa, le 14 novembre 1737,