<298>tions, je suis bien aise, vu surtout votre état infirme, de pouvoir y satisfaire. Je ne pense pas de vouloir la faire changer ou rebâtir en aucune manière; de sorte que vous pouvez continuer à y finir tranquillement vos jours, sans la moindre appréhension d'être obligée d'en sortir. Sur ce, je prie Dieu qu'il vous ait en sa sainte garde.
Federic.
A la veuve de Lamelouze, née Duhan de Jandun.