AU BARON DE SCHÖNAICH.
Bunzelwitz, 24 septembre 1761.
J'ai reçu, monsieur le baron de Schönaich, l'ouvrage de poésie que vous m'avez envoyé. Je vous remercie de votre attention; mais il sera difficile de saisir des instants, dans les circonstances présentes, pour lire des odes et des satires. Sur ce, je prie Dieu qu'il vous ait dans sa sainte et digne garde.
Federic.