2. AU MÊME.
(Juin 1738.)
Voici une lettre que j'ai reçue de Voltaire, avec la réponse que j'y ai faite. Ayez la bonté de me marquer ce qu'il y faut corriger, et je le changerai. Comme ce n'est pas mon dessein de la transcrire, ne marquez rien dans la lettre même. Voici aussi l'Épître à Keyserlingk,57-b que vous pouvez copier corrigée, telle que la voilà. Comme je l'envoie à Voltaire, vous voudrez bien vous hâter de copier ma réponse, afin que demain à midi tout puisse être de retour ici. Faites mes amitiés à la princesse, et dites-lui que je lui écrirai demain, si j'en ai le temps, et que je lui recommande le soin de sa santé. Mes amitiés à toute l'aimable société. Sum totus à toi. Knobelsdorff pourra me rapporter tout ce fatras d'écriture.
57-b Voyez t. XIV, p. 61.