<167>Je vous embrasse du fond de mon cœur, en vous assurant que je suis tout à vous.
101. DU BARON DE L. M. FOUQUÉ.
Brandebourg, 8 septembre 1769.
Sire,
Je suis charmé d'apprendre par votre gracieuse lettre que vous êtes satisfait et de la visite de S. M. I., et de tout votre voyage. Je ne souhaite plus que de vous savoir toujours en bonne santé; rien ne saurait égaler la consolation que j'en ressens. Je vous rends grâces, Sire, du fruit excellent que vous avez eu la bonté de m'envoyer. Je suis, etc.
102. AU BARON DE L. M. FOUQUÉ.
Le 29 décembre 1769.
Je vous envoie, mon cher ami, des étrennes de ma fabrique de porcelaine. Les progrès en sont sensibles, et je souhaite que cela puisse vous faire quelque plaisir. C'est ce que je désire, vous aimant et vous considérant comme un preux chevalier et comme le plus ancien de mes amis. Je suis à vous de corps et d'âme.