<219>il en sera cette fois pour sa peine; le temporel de cet homme vaut mieux que ce qu'il prétend avoir de spirituel.
9. AU MÊME.
Potsdam, 27 juillet 1766.
Monsieur le comte de Hoditz, j'ai reçu votre lettre du 21 de ce mois. Je suis bien aise que, selon que vous me le marquez, vous ayez vu l'Empereur. Je vous conserve d'ailleurs une parfaite reconnaissance de la façon dont vous vous énoncez à mon égard, et, comme je compte d'être rendu vers la fin d'août prochain en Silésie, je ne sais si pour lors je pourrai me flatter de vous y voir. Sur ce, etc.
10. AU MÊME.
Romberg, 4 septembre 1766.
Monsieur le comte de Hoditz, j'ai reçu votre lettre du 1er de ce mois, et je suis bien sensible à la reconnaissance que vous m'y témoignez de l'accueil que je vous ai fait à Neisse. Je vous prie d'être persuadé que j'ai été charmé de vous y voir, et que les sentiments d'attachement que vous me marquez me sont des plus agréables. Sur ce, etc.
aJe pars dans trois jours, mon cher comte, et je vous recommande à la protection de celui qui veille sur tous ses ouvrages, me flattant de vous revoir sain, gai et content.
a De la main du Roi.