<223>nir des chambres entières. Vous me ferez plaisir de lui faire donner tous les renseignements dont il pourrait avoir besoin à cet égard. Et sur ce, etc.
18. AU MÊME.
Schweidnitz, 24 août 1768.
Je serai très-charmé, monsieur le comte de Hoditz, de vous trouver, selon que vous me le promettez par votre lettre du 13 de ce mois, à Neisse quand j'y arriverai,a et je vous y ferai de bien grands remercîments de ce que vous avez pris la résolution de vous prêter à l'invitation que je vous ai faite d'assister, à Breslau, aux noces du prince Frédéric de Brunswic.b Sur ce, etc.
19. AU MÊME.
Potsdam, 15 mars 1769.
Monsieur le comte de Hoditz, mon Sans-Souci n'est que le palais du repos et de l'amitié. C'est dans cette solitude agréable que j'en goûte toutes les douceurs. Les amis absents n'y sont pas oubliés. Vos sentiments pour moi vous ont mis depuis longtemps de ce nombre; j'en connais toute la sincérité, et j'aime à m'en rappeler le souvenir. Votre vin d'Istrie et les six barils de brunze y seront donc très-bien accueillis; je les accepte avec reconnaissance. Agréez-en mes remercîments, et, en attendant que je trouve une occasion favorable de prendre ma revanche, soyez assuré que je vous aime et que je vous estime. Sur ce, etc.
a Le 27 août, Frédéric écrivit de Glatz au comte de Hoditz : « Je compte d'être demain à Neisse. »
b Le 6 septembre.