<253>estime, je n'en ressens pas moins à la lecture de la lettre que vous venez de m'écrire, et suis sensible à la gratitude que vous m'y témoignez. Sur ce, etc.
78. AU MÊME.
Berlin, 18 janvier 1778.
Monsieur le comte de Hoditz, autant que le nouvel exposé de vos sentiments m'a fait plaisir, avec autant de peine ai-je appris par votre lettre que mylord Marischal a eu une attaque d'apoplexie. Je souhaite bien ardemment que celle-ci n'ait point de suites, et que plutôt, à mon retour, j'aie la consolation de vous trouver tous les deux dans un état de convalescence qui me permette d'espérer de posséder encore longtemps deux personnes d'un mérite et d'un attachement aussi distingué. Sur ce, etc.
79. AU MÊME.
Potsdam, 24 janvier 1778.
Monsieur le comte de Hoditz, vous me donnez à l'époque de l'anniversaire de mon jour de naissance une preuve bien agréable de la vivacité de vos sentiments zélés et affectueux, par les félicitations que vous me présentez dans votre lettre d'aujourd'hui, que je trouve remplie de l'effusion d'un cœur reconnaissant et sensible. Je vous sais gré des vœux sincères que vous faites en ma faveur; ils me sont garants d'une source de félicité par le plaisir que j'aurai de vous faire éprouver en tout temps les effets de ma bienveillance et de mon estime. Les vœux que je vous fais en échange sont que vous vous portiez parfaitement bien, et que l'état de votre santé soit tout à fait rétabli et bien durable. Je vous recommande pour cet effet de ménager votre santé et