68. AU BARON DE L. M. FOUQUÉ.
Le 31 mai 1766.
Mon cher ami, je m'invite tout rondement à dîner chez vous sans façon, comme l'amitié l'autorise, pour le 2 juin, ce qui est après-demain.
Je me réjouis d'avance, mon cher Fouqué, d'avoir le plaisir de vous embrasser. Je serai à onze heures chez vous. Adieu, mon cher ami.